Lettre ouverte à Le Drian.
Mon cher Jean-Yves, dévoile-nous celui qui te contraindrait à ce silence inquiétant, toi qui pensais apporter tout ton poids au mouvement En Marche. Macron et consorts ne voudraient-ils pas d’un encombrant poids mort ?
Mon cher Jean-Yves, dévoile-nous celui qui te contraindrait à ce silence inquiétant, toi qui pensais apporter tout ton poids au mouvement En Marche. Macron et consorts ne voudraient-ils pas d’un encombrant poids mort ?
Vois-tu, même la camaraderie gouvernementale foutrait le camp en notre belle France : autres gens au sourire éclatant, autres mœurs bien tordues !
Macron n’avait nul besoin de s’encombrer d’un boulet, ce boulet de proscrit que tu deviens suite à ton gros appétit du pouvoir.
Ah René, offre-nous le
joli dessin d’un poisson tout moche venu des abysses, un Le Drian par exemple.
Imagine cette hideur rose tirée de l’eau par sa bêtise et sa convoitise. On
devra sentir dans ses yeux ronds tout l’étonnement de se voir mourir de sa
stupidité. N’oublie ni la bouche vorace ni ses "ba, ba, ba" d’agonie qui
implorent le ciel, des bulles contenant l’inscription "Hollande,
Hollande, pourquoi m’as-tu abandonné" sans oublier la réponse du berger à
sa bergère : "Parce que tu es un gros con !".
Sans te commander encore,
le pécheur s’appellerait Macron et l’appât accroché à l’énorme hameçon ne serai
qu’un vulgaire bout de papier avec, inscrit dessus : "Ministère de
la défense". Tu le vois, le tableau ? A se consoler de tant de bêtise consommée.
Pour ceux qui voteront pour Macron, et comme on disait dans les FFA, en 1965 (Forces Française
en Allemagne) :
Les baisés, comptez-vous !
C’est pourquoi, au deuxième tour,
Ma voix pour Macron ? Plutôt crever !
Ma voix pour Marine ? Même pas
mort !
Et merde à ceux qui me jetteront la première pierre.
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