« Du vécu, encore
du vécu, toujours du vécu ! On ne me reprochera pas d’avoir fait de la
prison. Je le sais pertinemment. Mais, on m’en voudra pour ces écrits. Je
n’aurais pas dû m’abandonner à dire mon sentiment. Tant pis pour les
grincheux ! » (GPK. Texte de la
maturité).
Depuis ma sortie de prison
je me méfie particulièrement de tous les jeunes rebeus qui n’ont aucun respect
pour la vie des non-musulmans. Parfois, je me dis que ne pas respecter le
voisinage fait d’abord insulte aux familles d’origine maghrébine, comme si ces
jeunes ayant honte de leurs parents qui se seraient laissés avoir par la
France. Et celui qui me dira que je méjuge, j’irai lui dire de faire un stage
en prison ou dans certaines cités de non-droit, ou qu’il me lapide et, là il me
parlera sans aucun doute de tolérance.
Problème il y a quand même
car, ayant une tête d’arabe ce qui fait qu’on m’associe trop facilement, comme
leurs parents à leurs crapuleries marquées d’un racisme dément, insurpassable
ne fait que me mettre dans leur galère.
On hallucine quand on
apprend que tous ces petits salopards exigent d’être respectés comme français à
part entière, eux et leurs parents mais, nom de nom ils ont tellement poussé à
la roue sans aucun frein que quelque chose s’est cassé en France, cela se sent
bien alors, pour réparer, je crois que même Dieu n’y suffirait plus.
Au fait, qui me traiterait
de raciste intolérant ne serait qu’un insensé ou un abruti fini ! Et je
lui prononcerais comme Fatima ma pauvre mère, ce mot intraduisible si on veut
rester un parfait gentleman français… si, si ça existe, la preuve :
« Caoued ».
Mais je m’en abstiendrai,
la langue franco-berbère est si pure, si chaste, si conviviale la preuve a fini par envahir, pour le bonheur des
détenus nos prisons et on ne sait toujours pas pourquoi ni comment c’est
arrivé. Freud, s’il ti pli ! Oui, papa Freud, à l’aide !
Pour finir, qui a dit, si
ce n’est un abruti : « La prison ? Pas si difficile que ça. Vous
êtes logés, nourris, on vous fournit la télé avec des films de cul…
La prison pour
certains ? Leur seul domicile fixe connu entre deux crapuleries souvent
violentes, d’après un gardien de prison de Nîmes.
Madame la
République, s’il vous plaît, ne laissez pas traîner ces Animaux dans la rue.
Ils ne savent faire que du mal comme s’ils n’avaient été conçus que dans ce
seul but et, si nous plaignons leurs parents, nous avons aussi une pensée émue
pour les victimes de leurs petites crapules chéries.
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