Oui, Pierrot, toi aussi tu te fatiguais du site de rencontres et me demandais pourquoi je ne draguais pas, dans mon environnement proche, une caissière ou une marchande fidèles au poste, conseil judicieux que je suivis.
À côté de notre banc des médisances, au pont de Pont de l'Hérault, un étal de fruits et légumes vint se poser, tenu par une quadra gironde, mignonne, mais brune... Tant pis ! Illico, je me mis en devoir de lui plaire et, je dois avouer, à ma grande stupeur, que je semblais lui convenir par mes manières raffinées.
Oh, misère quand tu nous poursuis ! Patatras.
Revenons à l'épisode précédent où il était question d'un contrôle de gendarmerie suscité par la rousse (1) de la recette des finances qui, opérant en civil avec 5 Gendarmes pour contrôler ma marchande des quatre saisons, s'inquiétait qu'un vieux ne se commette en travail dissimulé.
Imagine, Pierrot ton vieux pote Gilou portant toujours beau essayant de draguer une jeunette de 25 piges sa cadette, en bossant au noir. Un comble !
Pierrot, à ton avis, pourquoi l'OFJ (2) fit contrôler le Gilou par gentil Gendarme ? Mais, c'est par jalousie qu'elle me cassa la baraque. Quelle tristesse. Pour me consoler, le Gendarme demanda les
papiers aux cinq autres pépés et mémé du banc, mais pour de faux. Tentative louable, mais tentative ratée de la gendarmerie.
Encore une fois.
(1) traduction : la rousse désigne en France la police. (2) l'Officier Fiscal Judiciaire.
- Oui, mais mon vilain, n'aurais-tu pas excité un peu la rousse ?
- Non, juste demandé qui elle était. Une contrôleuse sans uniforme. Étrange. Je n'ai pas à vous répondre, et qui êtes-vous, qu'elle me dit. Ben, je suis le copain de la dame. Vous travaillez pour elle ? Ben non, je l'aide si elle est en panne...
Et le Gendarme qui vient ensuite demander les papiers...
- La dame qui contrôle est des Finances. Vous avez dit que vous aidiez la dame. Est-ce exact ? Ben, non que je rétorque. C'est une amie. je ne sais même pas son nom... Pas bien, Monsieur de ne pas connaître le nom de ses amis. La fourgonnette est à vous ? Ça va pas, Gendarme, j'ai pas les moyens de m'en payer, un C15 ! que je dis.
Et là-dessus, il prend mon nom. Que le mien. Normal, quoi !
À bien comprendre l'esprit des lois fiscales, aider une dame à changer une roue de secours, et pour ce faire devoir enlever les cageots du véhicule pour l'alléger, prendre un stoppeur, inviter un pauvre à manger ou à dormir chez soi en hiver pour qu'il ait chaud, ou encore, à la demande des Gendarmes de Trèves rechercher, pendant des heures, un vieux perdu entre Saint-Jean-du-Bruel et Sauclières, tout cela s'apparenterait à du travail dissimulé.
Quand on sait que nous accueillons, avec des maires de la région, des réfugiés et, qu'à part les retraités et leurs pensions, rien n'est proposé aux jeunes, aucun avenir ni moyens pour subsister dignement, que la région est sinistrée, que deviendront ces familles ? Condamnées elles aussi au travail au noir et chassées pour travail dissimulé par l'OFJ ?
Mais, dans quelle merde veux-tu nous plonger, Hollande ? Tu es fou ou quoi ?
Et voila la leçon de l'OFJ : faire traverser la rue à un aveugle serait du travail dissimulé car je ne le déclare à personne. Ben, oui : j'enlève l'os de la gueule de Médor, bon chien d'aveugle.
Hé, ho ! de votre Olympe, dites-nous quand vous aurez fini de nous emmerder à foutre en l'air la société en détruisant le convivial et à nous les briser menues, menues, les noix, messieurs du gouvernement qui n'avez rien de valable à proposer.
Et vous, messieurs les représentants de la loi, n'en avez-vous pas un peu marre de vous sentir tenu d'appliquer des lois démentes ? Vous êtes français, que diantre. Résistez, nom d'un chien policier !
Encore une fois.
(1) traduction : la rousse désigne en France la police. (2) l'Officier Fiscal Judiciaire.
- Oui, mais mon vilain, n'aurais-tu pas excité un peu la rousse ?
- Non, juste demandé qui elle était. Une contrôleuse sans uniforme. Étrange. Je n'ai pas à vous répondre, et qui êtes-vous, qu'elle me dit. Ben, je suis le copain de la dame. Vous travaillez pour elle ? Ben non, je l'aide si elle est en panne...
Et le Gendarme qui vient ensuite demander les papiers...
- La dame qui contrôle est des Finances. Vous avez dit que vous aidiez la dame. Est-ce exact ? Ben, non que je rétorque. C'est une amie. je ne sais même pas son nom... Pas bien, Monsieur de ne pas connaître le nom de ses amis. La fourgonnette est à vous ? Ça va pas, Gendarme, j'ai pas les moyens de m'en payer, un C15 ! que je dis.
Et là-dessus, il prend mon nom. Que le mien. Normal, quoi !
À bien comprendre l'esprit des lois fiscales, aider une dame à changer une roue de secours, et pour ce faire devoir enlever les cageots du véhicule pour l'alléger, prendre un stoppeur, inviter un pauvre à manger ou à dormir chez soi en hiver pour qu'il ait chaud, ou encore, à la demande des Gendarmes de Trèves rechercher, pendant des heures, un vieux perdu entre Saint-Jean-du-Bruel et Sauclières, tout cela s'apparenterait à du travail dissimulé.
Quand on sait que nous accueillons, avec des maires de la région, des réfugiés et, qu'à part les retraités et leurs pensions, rien n'est proposé aux jeunes, aucun avenir ni moyens pour subsister dignement, que la région est sinistrée, que deviendront ces familles ? Condamnées elles aussi au travail au noir et chassées pour travail dissimulé par l'OFJ ?
Mais, dans quelle merde veux-tu nous plonger, Hollande ? Tu es fou ou quoi ?
Et voila la leçon de l'OFJ : faire traverser la rue à un aveugle serait du travail dissimulé car je ne le déclare à personne. Ben, oui : j'enlève l'os de la gueule de Médor, bon chien d'aveugle.
Hé, ho ! de votre Olympe, dites-nous quand vous aurez fini de nous emmerder à foutre en l'air la société en détruisant le convivial et à nous les briser menues, menues, les noix, messieurs du gouvernement qui n'avez rien de valable à proposer.
Et vous, messieurs les représentants de la loi, n'en avez-vous pas un peu marre de vous sentir tenu d'appliquer des lois démentes ? Vous êtes français, que diantre. Résistez, nom d'un chien policier !
Le Gendarme n'effectuait que son travail en me contrôlant mais, ne sentez-vous pas que cette nouvelle police fiscale ne s'acharnera que sur les pauvres ?
Gendarme, je voudrais que vous acceptiez mes plates excuses, quoique trois erreurs furent commises, dont la première, liée à ma berbérité visible, pouvait laisser accroire que je ferais suer le burnous à une jeune française, ce qui induisit en erreur l'Officière* Fiscale Judiciaire qui, elle aussi n'est pas raciste. Nous l'avons constaté, puisqu'elle ne fait que son travail.
*Officier ne se peut féminiser je sais... mais, dans les années 60 lorsque je fréquentais l'Armée du Salut, c'est ainsi qu'on appelait la Capitaine. Mal dit encore, on ne peut non plus ? Eh, merde alors !
Vous voudrez bien rassurer les bons français : non, un beau berbère n'exploite pas les dames, ni sur les étals, ni sur le trottoir. Pas besoin de cela pour avoir de la chair fraîche, hallal ou pas. De même, j'aide qui je veux à titre gracieux et ce "travail" je ne le dissimulerai jamais, même si on me rétribuait d'un Ricard, le pastis des familles.
La deuxième erreur, du fait de l'OFJ, a été d'oublier qu'un vieux croûton de 70 ans bénéficiait d'une bonne retraite (merci la France !). Mieux qu'aux USA. Alors, pourquoi aurais-je besoin de travailler au noir ?
M'enfin, Gendarme, n'avez-vous pas, vous aussi eu cette désagréable sensation que quelqu'un voulait faire chuter le vieux beau ? Je trouve quand même curieux de bousculer un petit vieux à vouloir le faire tomber pour travail dissimulé. Non, pas bien. Et pourquoi pas la prison, hein ?
La troisième erreur est une petite "faute" d'inattention, vénielle soit, mais lourde de conséquence, et je vous la reproche. En effet, pour cacher que vous ne contrôliez que moi, vous demandiez les papiers aux six présents. Vous auriez donc dû aller au bout de la démarche et prendre le nom de tous. Pardon ? Et pourquoi ? Mais cela aurait évité une sorte de "discrimination", certes compréhensible lorsque l'on est Gendarme mais pas quand on porte une gueule d'arabe lourde de sens. Et puis...
Et pour finir, Gendarme, si j'avais été en votre jeunesse, avec votre allant, sanglé en votre bel uniforme, je me serai bien passé de toute galanterie pour pécho (attraper) la dame. À la hussarde, bon sang. À la hussarde !
Quant à être payé en nature ? Si j'avais été payé en retour, je vous l'aurais signalé, bien trop heureux de ma bonne fortune et, ce PV je me le serais punaisé au salon ! Ohé, mesdames du Vigan, Pont d'Hérault et environs, venez ! Admirez et constatez !
Eh, oui : on peut toucher ici, et là ! Surtout là, et même goûter. C'est comme on le sent.
- Mais, arrête de te vanter, papy, et fais nous rire à raconter tes bonnes fortunes de l'an 40, c'est bien mieux ! Et parle-nous du site.
Oh, que je te raconte Séverine : il était une fois un petit Chaperon rouge blond (1) qui te ressemblait et un vieux loup si amoureux que ça faisait peine à voir, et d'un gentil, si tu savais et qui me ressemblait. Or donc, dans la Forêt Noire, là-bas... Ouais, revenons à nos moutons de l'Aïd, bien trop chers à Nîmes, que c'en est honteux.
(1) Le rouge blond, une nouvelle teinte inscrite au nuancier à dater de cet écrit.
Séverine, revenons aussi au site et aux adresses mail et des téléphones qui s'échangent très rapidement. Curieusement, les dames attendent toujours que ce soit
vous qui les appeliez. Vous savent-elles toujours en couple, ou l'espéreraient-elles fortement car, à tromper leur mari... Mais,
vous n'y pensez pas ! Et se dédouaner ainsi par votre mensonge ? Impossible ! De si grandes dames.
Comprenne
qui pourra les
finesses des amours modernes éphémères qui se brûlent les ailes à la lumière du Web pour se noyer aussitôt dans le
lac de l'Indifférence, une fois le premier coup parti. Tristesse que ces tout petits plaisirs. Mais devrions nous faire la fine
bouche et nous en attrister ?
À part votre serviteur, nul ne se fatigue à chercher les jolis mots pour séduire. Il faut conclure par la botte, vite proposée, comme si, à nos âges, le temps des premières
fois était compté et, tout bien considéré :
- Non, Monsieur, pas la
première fois. Mais, c'est bien la première fois...
Ben, voyons, mais si elle ne te plaît pas, tu fais quoi ? Tu t'escrimes quand même ?
Ben, voyons, mais si elle ne te plaît pas, tu fais quoi ? Tu t'escrimes quand même ?
À la première
rencontre, la déception s'invite : elle paraît moins désirable que dans ses écrits, avec tous ces points
d'exclamation et de suspension dont elle abusait... Pourtant le vrai constat se
fait dans le miroir : si elle est moins attirante, c'est que nous sommes
certainement autant désirable qu'elle.
On s'était appréciés puis, la correspondance tarie, on s'oublie vite, sans peine ni excuse, ni respect, ni sentiments. Et aucune blessure d'amour ou d'amour propre pour comprendre l'échec : on fait avec et on perdure dans la méthode de drague.
Mon inscription sur le site de rencontres visait, à défaut d'une beauté, de me payer un petit bout de chou, tout mignon, ni plus, ni moins ! Et, à tant surfer sans rien trouver, j'entamais le deuil de l'amie, l'amante, l'amoureuse que je n'aurai jamais, et peut-être tant mieux, me disais-je, on ne te fera jamais un coucou dans ton nid.
On s'était appréciés puis, la correspondance tarie, on s'oublie vite, sans peine ni excuse, ni respect, ni sentiments. Et aucune blessure d'amour ou d'amour propre pour comprendre l'échec : on fait avec et on perdure dans la méthode de drague.
Mon inscription sur le site de rencontres visait, à défaut d'une beauté, de me payer un petit bout de chou, tout mignon, ni plus, ni moins ! Et, à tant surfer sans rien trouver, j'entamais le deuil de l'amie, l'amante, l'amoureuse que je n'aurai jamais, et peut-être tant mieux, me disais-je, on ne te fera jamais un coucou dans ton nid.
Je me rendais aux évidences : le con, bien trop vieux n’est jamais désirable, je ne vous apprendrais rien, Mesdames !
Mais, pourquoi
n'avais-je pas conservé ma vieille maîtresse jalouse, elle qui tant m'aimait, Ancilla, ma bonne Ancilla qui me faisait
roi fainéant ?
Et à finir con, déjà qu'on est vieux, faut le faire !
_______________
Je vous conseille de lire le blog de Georges Moréas (Commissaire principal honoraire).
Fisc : des policiers qui n’en sont pas
Ils disposent des mêmes pouvoirs que
les officiers de police judiciaire : garde à vue, perquisitions,
saisies, réquisitions, écoutes téléphoniques, etc., et pourtant ce ne
sont ni des policiers ni des gendarmes, mais des agents du fisc. Ce sont
les nouveaux officiers fiscaux judiciaires (OFJ). Leur mission : la
lutte contre les fraudes fiscales, et notamment contre ces assemblages
tortueux qui mènent tout droit au paradis... fiscal.
Ces fonctionnaires du fisc ont reçu une formation de trois mois à l'École nationale supérieure des officiers de police de Cannes-Écluse. Trois mois !... Cela peut paraître bien court, alors que l'instruction des élèves officiers s'étale sur 18 mois. Et pour mémoire, par le passé, il fallait compter cinq ans de pratique avant de recevoir l'habilitation d'OPJ.
Ces fonctionnaires du fisc ont reçu une formation de trois mois à l'École nationale supérieure des officiers de police de Cannes-Écluse. Trois mois !... Cela peut paraître bien court, alors que l'instruction des élèves officiers s'étale sur 18 mois. Et pour mémoire, par le passé, il fallait compter cinq ans de pratique avant de recevoir l'habilitation d'OPJ.
Afin de se donner les moyens de poursuivre les délinquants qui s'en prennent au portefeuille de l'État, en novembre dernier, la Brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF) a vu le jour. Il s'agit d'un service de police judiciaire dans lequel sont regroupés officiers et agents de PJ, et les tout nouveaux OFJ. C'était une aspiration de l'ancien ministre du budget, M. Éric Woerth, mais, si j'ai bien compris, à l'époque, il voyait plutôt là un moyen d'éloigner les policiers des enquêtes fiscales. Peut-être pour avoir la mainmise sur un outil redoutable...
Depuis, les affaires sont passées..
.
.
Tout cela s'accompagne d'un changement de la
procédure judiciaire applicable aux enquêtes fiscales. Cette procédure
est à deux niveaux. Une saisine en amont sur la base de simples
présomptions et, en aval, des investigations menées sous l'autorité du
procureur ou du juge d'instruction. Or, il est dit dans la circulaire du ministère de la justice que cette nouvelle brigade n'a pas « la
possibilité de réaliser des enquêtes d'initiative ; elle ne pourra
procéder qu'aux enquêtes qui lui seront confiées par les magistrats,
dans le cadre des procédures d'enquête préliminaire ou d'information
judiciaire... » Une vue de l'esprit, d'autant que cette même
circulaire précise que la mission de base est de rechercher et constater
les infractions. D'ailleurs, un haut fonctionnaire de Bercy, cité par Le Figaro,
déclare que « cette redoutable brigade » pourrait déclencher ses
investigations « à partir de présomptions et sans contrôle fiscal
préalable. »
Alors, quel avantage par rapport aux services existant aujourd'hui ? La justification tient dans « la plus-value que constitue pour les magistrats la compétence d'enquêteurs spécialisés disposant d'une compétence nationale et d'une expérience... » Ce qui n'est pas vraiment gentil pour les policiers spécialisés dans ce domaine au sein de la préfecture de police et de la direction centrale de la PJ, auxquels du reste sont intégrés plus de 80 inspecteurs des impôts. Ni pour les autres fonctionnaires du fisc ou des douanes qui se démènent au sein de services spécialisés, tellement nombreux, qu'il serait bien fastidieux de les énumérer ici.
Les deux précédents ministres de l'Intérieur avaient d'ailleurs freiné des quatre fers, conscients que la création d'un service de police judiciaire auprès de Bercy serait plutôt mal interprétée. Finalement, comme c'est souvent le cas ces temps-ci, on fait quand même mais on fait a minima : cette brigade a finalement été rattachée à la direction centrale de la police judiciaire.
Alors, quel avantage par rapport aux services existant aujourd'hui ? La justification tient dans « la plus-value que constitue pour les magistrats la compétence d'enquêteurs spécialisés disposant d'une compétence nationale et d'une expérience... » Ce qui n'est pas vraiment gentil pour les policiers spécialisés dans ce domaine au sein de la préfecture de police et de la direction centrale de la PJ, auxquels du reste sont intégrés plus de 80 inspecteurs des impôts. Ni pour les autres fonctionnaires du fisc ou des douanes qui se démènent au sein de services spécialisés, tellement nombreux, qu'il serait bien fastidieux de les énumérer ici.
Les deux précédents ministres de l'Intérieur avaient d'ailleurs freiné des quatre fers, conscients que la création d'un service de police judiciaire auprès de Bercy serait plutôt mal interprétée. Finalement, comme c'est souvent le cas ces temps-ci, on fait quand même mais on fait a minima : cette brigade a finalement été rattachée à la direction centrale de la police judiciaire.
Toutefois, cette démarche de nos dirigeants laisse un sentiment de malaise. Sous prétexte de pourchasser les milliardaires qui cachent une partie de leur fortune sous des cieux plus cléments (Tiens, qu'est donc devenue l'Île de Liliane Bettencourt ?), on peut se demander si l'objectif n'est pas de s'attaquer aux citoyens plus modestes, vous et moi.
Quoi de plus normal, me direz-vous ! Rien ! Mais ne risque-t-on pas demain de voir des gros bras fiscalistes harnachés comme les gens du RAID, enfoncer notre porte sous prétexte qu'on a un peu triché sur les frais de déplacements lors de sa déclaration d'impôts !
Une police fiscale répressive...
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