Par ta faute, François, j'avais fini par admettre que le vote n'était jamais qu'un aimable baise-couillons mais, aujourd’hui, me rendant compte que la vie en société se doit d’être plus nuancées je ne peux que constater que les plus péremptoires sont les plus abrutis, et c’est pourquoi, étant entré en moi-même et après de douloureux déchirements, je me dois de revenir à l’utilité manifeste du vote populaire, quoique là-dessus il y aurait à redire, l’exemple des USA mithridatisant désagréablement tous les démocrates qui n'y trouvent rien à redire. Etrange.
Les USA, la première et plus grande démocratie du monde ? Chatouillez-moi, je l'exige et faites-moi rire !
Malgré-ce, j’adresse par
ces mots une vibrante supplique à notre toujours président de la République
Française pour qu’il daigne se représenter à l'élection de 2017.
Certains, ceux qui ne m’aiment
pas me siffleront gentiment :
- Ce Monsieur qui affichait de belles idées sociales t'aura trahi… La mariée était trop belle mais, l’ami, Georges Marchais ne t’avait-il pas prévenu de ne rien attendre des suppôts du capitalisme et autres réformistes, les pires se révélant
les socialistes français qui avancent masqués ? Je vois que la vie ne t’aura rien
appris !
Soit.
D’autres, me rappelant mon
service militaire et la naïveté de mes 20 ans lorsque l’on osait se moquer de moi :
- Que ceux qui veulent passer leur permis de conduire
sortent du rang !
Pas plus tôt fait ce pas en avant :
Pas plus tôt fait ce pas en avant :
- Les baisés, comptez vous. De corvée de chiottes !
Effectivement, j’avais
voté Hollande et ne le regrette pas. Pourquoi ? Mais, parce que les
français savent maintenant à quoi s’en tenir sur les sept candidats* à la primaire
socialiste, de Jean-Luc Bennahmias, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent
Peillon, Sylvia Pinel, François de Rugy, à Manuel Valls, bon dernier comme
toujours : socialistes réformateurs ? Pas bon, tout ça. Mauvais, même !
*Ndlr : Sept nains,
soit mais le compte n'y est pas. Ne manquerait-il pas Ségolène Royal, leur Blanche-Neige ?
Cher François, ne suit jamais les conseils de ceux qui disent te vouloir du bien, c'est pourquoi tu t'appliqueras à bien m'écouter :
...mais surtout pas à la primaire socialiste.
Oh, par pitié : ne commets pas l'erreur fatale de Sarkozy.
Pourquoi donc? Mais parce qu'il s'est retrouvé poursuivi puis déchiqueté par ses propres bassets, ces chiens de sang, ses "amis" qui ont choisi plus mauvais que lui. Tiens, toi aussi tu pensais à Valls... toi aussi ? Après avoir été blackboulé à la primaire, tu ne pourrais plus prétendre à la présidentielle. De même, sache que seuls les faibles ont besoin de savoir s'ils sont aimés de leurs troupes. Napoléon et de Gaulle s'en moquaient bien et se comportaient en princes qu'ils étaient.
- Moi d'abord, comme disait mon beau père en tendant son assiette à la table familiale des repas d'après la messe.
Tu nous as trahi une fois, et une première trahison augurerait-elle toujours d'une seconde ? Que nenni, ce serait trop facile ! Le malfaisant ne peut-il éprouver du remord, se repentir, se bonifier ? Oui, je le crois fermement ou alors il y aurait tout à redouter de l'humanité, la sienne propre en premier. Je n'ose imaginer !
Voyez que cela devrait nous rassurer sur cette candidature, franchement la seule possible, viable, honnête. Et remplie d'espoir vers un avenir radieux pour notre belle et bonne France.
Hollande nous a-t-il grugé en manquant à sa parole ? Et alors ? Il ne le fera plus, je vous le garanti.
Présente-toi à la présidentielle
...mais surtout pas à la primaire socialiste.
Oh, par pitié : ne commets pas l'erreur fatale de Sarkozy.
Pourquoi donc? Mais parce qu'il s'est retrouvé poursuivi puis déchiqueté par ses propres bassets, ces chiens de sang, ses "amis" qui ont choisi plus mauvais que lui. Tiens, toi aussi tu pensais à Valls... toi aussi ? Après avoir été blackboulé à la primaire, tu ne pourrais plus prétendre à la présidentielle. De même, sache que seuls les faibles ont besoin de savoir s'ils sont aimés de leurs troupes. Napoléon et de Gaulle s'en moquaient bien et se comportaient en princes qu'ils étaient.
- Moi d'abord, comme disait mon beau père en tendant son assiette à la table familiale des repas d'après la messe.
Tu nous as trahi une fois, et une première trahison augurerait-elle toujours d'une seconde ? Que nenni, ce serait trop facile ! Le malfaisant ne peut-il éprouver du remord, se repentir, se bonifier ? Oui, je le crois fermement ou alors il y aurait tout à redouter de l'humanité, la sienne propre en premier. Je n'ose imaginer !
Voyez que cela devrait nous rassurer sur cette candidature, franchement la seule possible, viable, honnête. Et remplie d'espoir vers un avenir radieux pour notre belle et bonne France.
Hollande nous a-t-il grugé en manquant à sa parole ? Et alors ? Il ne le fera plus, je vous le garanti.
Après ce constat sans appel, et comptant sur votre bienveillance, en votre nom, je le sens et au mien, je prie donc
respectueusement Monsieur le Président de la République française, François Hollande de laisser la primaire et la cuisine socialiste aux faibles et de
se représenter pour qu’au moins une fois et une seule fois dans
ma vie électorale je puisse voter en conscience. Voter juste, voter bien.
Je le souligne pour dissiper toutes ambiguïté : voter pour Hollande encore une fois sachant qu’ainsi je ne serai pas cocufié deux fois, puisque me voilà prémuni.
Je le souligne pour dissiper toutes ambiguïté : voter pour Hollande encore une fois sachant qu’ainsi je ne serai pas cocufié deux fois, puisque me voilà prémuni.
Oui, mais alors, me dira-t-on, avec Hollande à l'élection présidentielle contre le poulain de la primaire socialiste vous risquez
de diviser les voix de gauche faisant ainsi élire un Président de droite, voire
d’extrême-droite. Plus mauvais que Hollande ? Allons donc !
Et, alors ? Où le voyez-vous le problème car, comme le disait si justement le regretté Duclos, notre ancien dirigeant du Parti Communiste Français, comparant la droite et les socialistes :
Et, alors ? Où le voyez-vous le problème car, comme le disait si justement le regretté Duclos, notre ancien dirigeant du Parti Communiste Français, comparant la droite et les socialistes :
- Blancs bonnets, bonnets blancs !
Comme cela était bien dit ! Mais, pas que : en effet, tous les électeurs déçus des primaires de droite et de gauche que leur candidat n'ait été choisi se porteront immanquablement sur la seule candidature qui puisse les venger : celle de Hollande, et le résultat final ne fera aucun doute.
S’il vous plaît, Monsieur
le président, accédez à mon humble supplique. Estimez ne rien me devoir, mais au moins accordez ce plaisir à René qui n’attend plus que ce
geste amitieux de votre part, à Pierrot qui compte sur vous pour faire encore pire, ainsi qu'à Américo, non,
lui il est portugais et ne vote pas en France, à Rolando, à Fannie, pas elle
qui refuse que je vote pour elle par procuration, et on se demande où peut donc
bien se nicher la confiance dans le couple, à Mouloud, à Yacine, à Markus, à
Claudius, à Youcef… non pas à Youssef, ni à sa bombinette qui se prennent
maintenant pour des canadiens de souche, à Anna Maria, à Malika, à Yvette, à Elisabeth,
à Danielle, à Yasmina et à Julie, non pas elle qui vous compare à un pétoule de son lapin Pan-Pan qui, comme vous ne pense qu'a ça, mais depuis qu'elle l'a castré, le pauvre, enfin vous réjouirez tous ceux qui affirment qu’ils n’ont pas voté pour vous en
2012 mais, ce dont je suis certain, à part Markus qui vote toujours Dupont-Aignant,
Claudius qui penchera toujours à droite comme un arbre mal planté mais qui regrette à ce jour sa voix donnée à Sarkozy, merci mon Dieu, ainsi que Mouloud qui vote Front National, à
Pierrot qui glisse toujours un bulletin blanc dans son enveloppe, tous les
autres, sans exception vous les aurez floués même s’ils n’avoueront jamais vous
avoir fait élire. Mais ils vous aiment. Et, croyez-m'en : qui aime bien... Voyez que j'ai raison.
Croyez que seule l'amitié que je vous porte guide mon instante prière : ils voteront encore pour vous. Mieux, même : ma main au feu que les baisés se compteront nombreux !
Monsieur le Président,
vous voudrez bien apprécier le courage de René et le mien qui sommes bien les
seuls à avouer, en France avoir voté pour vous.
Voilà pourquoi, pour que
nous puissions commencer à vous aider à réparer votre aimable quinquennat par un nouveau quinquennat, si cela se
pouvait, vous vous présenterez et, au moins feriez-vous chuter tous les éventuels
candidats socialistes, ces vipères nourries en votre sein
généreux, le petit Macron en premier. Quant à Manuel Valls, dans mes futurs conseils j'éviterai de vous entretenir de ce mauvais sujet.
Suivez ma voix, François et boycottez impérativement la primaire socialiste, puis déclarez-vous candidat en dehors des partis et, si vous n'êtes pas élu, au moins aurez-vous mon vote et celui de René, enfin je l'espère et ainsi obtiendrez-vous un score honorable au second tour qui fera taire tous vos détracteurs, vos compagnons socialistes en premier.
J'imagine déjà la tête de Valls et de Macron. Un régal. Mon Dieu, que je ne meure pas avant que d'éprouver cette joie intense pour, comme David danser devant l'Arche d'Alliance, et qu'importe ce que Fannie dira de moi...
- Mon Gilou, il est fou. Complètement fou ! Une supplique à Hollande. Un comble après en avoir dit tant de mal.
Oui, mais c'était avant que je ne me repente, n'est-ce pas ?
Suivez ma voix, François et boycottez impérativement la primaire socialiste, puis déclarez-vous candidat en dehors des partis et, si vous n'êtes pas élu, au moins aurez-vous mon vote et celui de René, enfin je l'espère et ainsi obtiendrez-vous un score honorable au second tour qui fera taire tous vos détracteurs, vos compagnons socialistes en premier.
J'imagine déjà la tête de Valls et de Macron. Un régal. Mon Dieu, que je ne meure pas avant que d'éprouver cette joie intense pour, comme David danser devant l'Arche d'Alliance, et qu'importe ce que Fannie dira de moi...
- Mon Gilou, il est fou. Complètement fou ! Une supplique à Hollande. Un comble après en avoir dit tant de mal.
Oui, mais c'était avant que je ne me repente, n'est-ce pas ?
Monsieur le président de
la République, j'ose encore espérer de vous,
moi, votre humble et dévoué ami de toujours,
Gilles Patrice-Khial.
PS : Notre ami René
Bouschet que je n’ai pas encore osé consulter sera, je le sais à mes côtés pour appuyer
cette humble supplique et vous apporter sa voix, mon François.
NB à l'adresse de René. A ta convenance, tu peux supprimer ce post-scriptum et tout ce qui, dans ce texte te gênerait. Jusqu'à l'effacer entièrement ? Et pourquoi pas, l'ami. Mais, ce serait grand dommage, crois-moi !
NB à l'adresse de René. A ta convenance, tu peux supprimer ce post-scriptum et tout ce qui, dans ce texte te gênerait. Jusqu'à l'effacer entièrement ? Et pourquoi pas, l'ami. Mais, ce serait grand dommage, crois-moi !
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