Et voilà le Fillon qui se
réclame de la lignée de Jacques Chirac, le seul Président qui aimait la paysannerie et nous réjouissait tant à caresser le cul des vaches, et
l’autre qui renâcle, genre :
- Je préfère les petits culs, et pis la vache, ça pue
la vache !
Apprécier le cul
des vaches, c’est humain ça, non ? Jacquot, Jacquot, mais nom de nom, un
type incapable de flatter la croupe d’une belle jument ou le gros fessier d’une
vache, mériterait-t-il nos suffrages ? Quant à apprécier la vision
surréaliste des couilles au cul d’un verrat de concours, Fillon en est bien
incapable préférant les confondre avec ses magouilles, aussi grosses, ne vous en déplaise !
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PS : un doublon de vaches pour faciliter l'affichage pour la campagne de François Fillon.
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