Le fatal nombre 13 !... Vous avez dit pas de pot !? |
Vous noterez aussi que mes vérités ne sont pas toujours bonnes à dire. Comme Noé (Noah en allemand), j’espère n’avoir pas collecté un ramassis de bêtes à manger du foin pour les embarquer dans mon arche. Je compte donc sur votre intelligence, internautes chéris-chéris.
Lorsque je
dis que je vais à la messe pour trouver l’amour de ma vie… qui n’a jamais fait
pareil ? Et ma démarche est logique puisqu’il y a plus de monde qui traine dans
tous les lieux de cultes que dans mon bistrot favori. Donc, plus de femmes à
marier. Merci, Gilou pour le conseil...
... et comme j’aime
à voir traîner toutes ces ouailles dans les églises!
Quand je traite
de racaille ces siffleurs de Marseillaise
dans les stades de foot, que j’estime que leurs parents sont responsables de
leur mauvaise éducation et que je demande à monsieur le président de la
République algérienne, lorsqu’il se fait soigner en France, de ne pas donner un
coup de pied dans sa gamelle, qu’ai-je dit de mal ?
Et quand je
fustige les juges qui font mal leur travail et placent les fous en prison, que
je ne supporte pas les minauderies de l’avocat général Bilger déclarant que les
« arabes » sont plus souvent en prison parce qu’ils font plus souvent
de conneries… ouais, ouais. Mauvaise foi, le Bilger. Il sait que si tu es
basané en France, on t’appelle Monsieur bad-arab… et zou, en
prison. Comme le Gilou, né du mauvais côté de la Méditerranée.
Aussi, Monsieur l’Avocat général, arrêtez d’insulter notre intelligence. Ce n’est pas parce qu’on a une gueule d’arabe qu’on est un rat, un raton, un animal sans intelligence.
Aussi, Monsieur l’Avocat général, arrêtez d’insulter notre intelligence. Ce n’est pas parce qu’on a une gueule d’arabe qu’on est un rat, un raton, un animal sans intelligence.
Bilger,
venez débattre avec moi. La prison, vous ne connaissez pas. N’y êtes jamais
allé. Et comme dit ma mère,
-Soussoum quen. En langue berbère.
A la caillera (la racaille, in good french), on dit : ta bouche !
A la caillera (la racaille, in good french), on dit : ta bouche !
Comme dans
toute famille, mes écrits, je les revendique tous comme mes enfants. On
préfère souvent les plus chétifs et les
fragiles, considérant, bien à tort que les costauds ont besoin de moins de
câlins. Mais, tous mes textes sont « des prématurés spécifiques » qui vont
demander un peu de temps pour grandir.
Remarquez qu'un fil
conducteur semble tous les relier mais ces entités se suffisent à elles même tout en faisant partie d’une œuvre globale. C’est
pourquoi, vous devrez les picorer, ou
les suçoter comme petites merises
acidulées, ou cerises juteuses.
Mais, comme dit Rolando, elles ne vous gâteront pas les dents.
Mais, comme dit Rolando, elles ne vous gâteront pas les dents.
-Comment ? Qu’est-ce que tu dis ?
Les neuf textes maudits qui posent problème…
... et qui me valent les foudres des bégueules,
des culs-cousus. Et des saute-aux prunes !
-Ouais, tu ne fais que parler
de cul. C’en est une dégoutation.
-Pardon Rolando ? On doit dire dégustation, non ?… Tu en es bien sûr ? Ah, bon mais, je préfère dégustation. Parce
que mes textes se dégustent. Seulement, ceux qui les trouvent salasses sont ces vilaines personnes
qui doivent le plus consulter les pages de porno dont sont pleins leurs
ordinateurs.
Dans notre petit viganais, il nous reste de forts relents
d’Evangélisme. Faut savoir, qu’ici, en mes petites Cévennes, il y avait encore
un important « Réveil » évangélique fin des années 50. On se serait cru aux USA,
tu sais, dans ces petits temples intégrants protestants (ou intégristes... qui vient d'intègre, quoi !).
Rappelez-vous Billy
Graham, l’évangéliste rameutant des
foules immenses sous ces chapiteaux de cirque, le copain de Bush père et fils mais
sans l’esprit sain qui ont quand même fini par se fâcher avec Billy. Quel cirque !
Je sais que
mes textes auraient déplu à Jehan Calvin et ravi mon ami Martin Luther qui
parle si bien du petit perthuis de la femme (petite porte de devant).
1-Les
Ortolans du 25 décembre 2012.
Cet écrit, le plus coquin que j’aime profondément, pose un problème fondamental : la misère sexuelle et affective, compagne de la vieillesse. Seules, les personnes âgées, isolées, coupées
de toutes possibilités de sexualité et d’affection d’un être proche et cher
peuvent priser cette petite merveille que tu liras en accompagnement de ta prochaine et sûre
vieillesse. Alors, souviens-toi, Barbara, il pleuvait si fort sur Brest !
2-Anne
ma Floriane… qu’entends-je ? du 13
janvier 2013 est une nouvelle ahurissante qui met en scène l’âne de 6 mois Charlie et la Floriane qui veut appeler le rabbin
(c’est son mot) pour castrer le bourricot. Et elle l’a fait, malgré les
supplications de Rolando.
Quant au bâton pour calmer les ardeurs des ânes et des hommes, c’est Fatima, ma mère qui parle. Et ceux qui ont eu le bonheur de la fréquenter vous diront que ce sont ses propres mots.
Quoiqu’il en soit, lorsque j’entends une dame parler castration, j’ai le jean qui frémit d’effroi et je leur en veux, à ces vilaines.
Quant au bâton pour calmer les ardeurs des ânes et des hommes, c’est Fatima, ma mère qui parle. Et ceux qui ont eu le bonheur de la fréquenter vous diront que ce sont ses propres mots.
Quoiqu’il en soit, lorsque j’entends une dame parler castration, j’ai le jean qui frémit d’effroi et je leur en veux, à ces vilaines.
3-Le cœur
de Lola du 10 février 2013,
mon texte chouchou, chant d’amour sur la beauté de la femme ne peut être texte
incommodant. En effet, parler du cœur de Lola, mon Dieu ! Vous remarquerez que je
parle aussi de ses yeux, son sourire, ses sourcils, sa bouche, les petits
bisous d’amoureux, j’en parle aussi.
Aussi, excusez-moi si Lola a un si beau cœur. Et à qui le dire, si ce n’est à vous ? Et si vous voyiez son cul... Merveille des merveilles ! Et, quand votre amoureux vous parlera aussi bien de vos attraits… Ne soyez pas trop jaloux, je m’appelle Gilou !
Aussi, excusez-moi si Lola a un si beau cœur. Et à qui le dire, si ce n’est à vous ? Et si vous voyiez son cul... Merveille des merveilles ! Et, quand votre amoureux vous parlera aussi bien de vos attraits… Ne soyez pas trop jaloux, je m’appelle Gilou !
4-La
Saint Valentin à Julie du 14
février 2013 se saisit à bras le
corps d’une actualité brûlante : l’échangisme. C'est vraiment le seul
cadeau d’anniversaire pour ma fille Julie. Texte d’amitié entre Marylou et
Julie.
Ne me dites pas que vous n’avez jamais consolé une Marylou. Mais, qu’elle est pénible à toujours parler de sa chatte. Et cela donne des idées. Pas vrai ? Merde alors.
Ne me dites pas que vous n’avez jamais consolé une Marylou. Mais, qu’elle est pénible à toujours parler de sa chatte. Et cela donne des idées. Pas vrai ? Merde alors.
5-Attraction
& propulsion du 15 février
2013 qui nous explique pourquoi, mesdames, vous aimez nos petits fessiers
musclés. J’ai voulu vous offrir un écrit très aimable, respectable et dans sa
tournure et dans les explications si lumineuses de ma fille Julie. Est-ce un
texte maudit ? Que nenni. Ou alors…
6-La
Saint Claude all’ dente du 15
février 2013 bel écrit que je ne renie pas non plus. Quelle joie de vous
l’avoir offert. Il parle de bonheur, de sentiment de liberté et des
incompréhensions dans les discours : elle pensait qu’il la draguait, lui
ne disait qu’une petite senterie exprimant sa joie de vivre.
7-L’Arletta
de Rolando du 17 mars 2013,
jour de la Saint Patrick est cadeau pour moi. Rolando m’affirme que la chose
s’est déroulée telle que narrée. A l’époque, ces produits de teinture de
cheveux trop puissants, mal dosés ou
appliqués trop longuement occasionnaient
de graves brûlures aux lèvres (in english : lips). Et puis, la mode de raser son tablier de sapeur ou de
l’épiler n’était pas encore de mise. Voili-voilà.
Doit-on me
blâmer pour ce texte ? Lorsque vous croiserez ce coquin de Rolando, dites-le lui. Mais… à 85 ans bientôt, il vous recevra de belle manière, je le crains, en se moquant
de vous.
8-Oh
Agatha, ma chienne… du 8 mars
2013. La journée internationale des femmes. Texte pour lequel j’ai
une tendresse infinie parce qu’il me
rappelle ma petite chienne Noémie que mon ex-vilaine, pour me faire
chier (n’ayons pas peur des mots), m’a volée. Elle a eu 15 ans le 19 mars. Pas la vilaine, l'est plus vieille. J'avais dog-nappé, (kidnappé), ma Noémie mais les gendarmes m’ont demandé de la rendre à la vieille.
9-Qui
a tué mon Dieu du 1er
septembre 2012. Ce jour est la Saint Gilles. Donc… la masturbation en
prison et hors des murs est naturelle, même lorsque, ambidextre on
arrive à se laver les dents et caresser coquette.
Mais le faire de jour, devant son codétenu, c’est bizarre, non ?
Serait-ce
une manœuvre d’élévation de l’âme vers son créateur ? Allez savoir !
Quoiqu’il en
soit, parlez-moi pas de ce juge qui, par son
arrêt en guise de graine d’ellébore a pu guérir ce fou en le plaçant en
détention pour qu'il redevienne normal. Bravo, juge, pour ce tour de bonneteau. Un juge-psychiatre... On connaissait le policier-psychiatre en SSSR (URSS), mais là, c'est fort de café!
Vous me
direz : et toi, Gilou, comment sais-tu qu’un type est fou ? Ben, le jour où je me
masturberai devant vous, en plein jour, quelqu'en soit le plaisir pris, je ne saurai pas si je suis fou. Mais vous n’aurez aucune hésitation à
me déclarer siphonné, ravagé, fou. Mais, n'étant pas juge, vous ne m'embastillerez pas. Pour çà, faut être instruit !
10-La
joueuse de Pipe du 19 mars deux-mille-ziknine. Petit texte savoureux, dont seul le titre a été créé.
Il n’est même pas encore dans les limbes de mon esprit. Je dédierai cette nouvelle à Monica qui hantait la maison, blanche joueuse de
pipe (Traduction en anglais : pipe=pipe).
Ah, j’oubliais,
une pipe en anglais est une pipe ou une cornemuse. J’imagine la traduction en
anglais de ce texte… à se tirer les cheveux.
Pendant quelques jours, je vais vous abandonner pour quelques randonnées pédestres, si le temps des giboulées voulait bien s'arrêter.
Rassurez-vous : René vous fera quelques petites surprises et nous vous enverrons la suite de "C'est beau Paris" en début de semaine prochaine.
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