Pour aller visiter Paris.
Partis, directement de Montpellier,
Dans le rapide et confortable TGV,
Un clin d’œil et nous étions arrivés,
Paris ouvrait ses portes sous nos pieds.
Bonjour Paris, nous arrivons de nos montagnes,
Nous t’apportons du thym, de la lavande.
Nous sommes venus voir tes beautés,
Et emporter avec nous tous tes secrets.
Il est minuit, allons directement,
Visiter le bois de Boulogne.
Le spectacle est si éblouissant,
Le spectacle est si éblouissant,
Qu’il laisse les hommes sans paroles.
Le lendemain Versailles nous présentait son château,
A tous les artistes d’autrefois, je dis un grand bravo.
Dans cet immense parc, dans ce paradis fleuri,
Pour nous ce jour là, les fontaines ont jailli.
Du Trocadéro, j’ai admiré la tour Eiffel,
Vue de là haut, c’est un géant tombé du ciel.
Avec grâce, elle s’étire pour toucher les cieux,
Avec grâce, elle s’étire pour toucher les cieux,
Et à ses pieds le monde entier lève les yeux.
Au centre d’une place giratoire,
L’arc de triomphe est érigé
Douze avenues forment une étoile,
Quel beau chef d’œuvre à admirer.
Des galeries en forme de gruyère,
Nous mènent là où nous voulons aller,
Je ne me serais jamais imaginée,
Sous terre une telle immensité.
Dans cette ville souterraine,
Les parisiens courent sans arrêt.
Pour s’entasser dans le RER,
Pour s’entasser dans le RER,
Mais pourquoi sont-ils si pressés ?
Nous avons vu Jean Lefebvre au théâtre,
De belles cathédrales et la butte Montmartre,
Le Champ de Mars, le Louvre et le musée d’Orsay,
Et la grande avenue des Champs Elysées.
Je voudrais que ma visite soit écourtée,
Car à Paris on court, on ne sait plus marcher,
Toujours plus vite, pour mes pieds, pas de pitié,
Toujours plus vite, il faut y aller, on est pressés.
Dans le parc magique à Disneyland,
J’étais aussi fascinée que les enfants.
Devant la parade de Mickey et sa compagnie,
J e me suis envolée sur un nuage avec Minnie.
Un train fou reste gravé dans ma mémoire,
Il était si fou que je criais au désespoir,
Ce n’était pourtant qu’un jeu d’enfant,
Aujourd’hui encore, je voudrais revivre cet instant.
J’ai écouté chanter les poupées du monde entier,
Toutes ces merveilles je ne pourrai les oublier.
Il me faudrait beaucoup de temps pour tout vous raconter,
Mais le TGV m’attend, déjà il faut rentrer.
Paris, tu es la capitale du monde la plus magnifique,
Tu es une ville splendide, grandiose et féerique.
Je suis fière de toi, tu m’as tellement émerveillée,
C’est promis attends-moi, un jour je reviendrai.
***
Quatrième poésie du recueil
«Du
rêve à la réalité»
Simone Didierjean Martin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire