François, mon coco* !

Cher Président, François. 

Sais-tu qu'à force de ne pas s'activer, comme te le disait si bien Claude SERILLON, on n’a plus envie de bouger sa bedaine ? Et qu’entre le faire et se rouiller, faut choisir. Et, moins tu bouges, plus tu manges.

Oui, mais, plus tu bouffes, plus l'appétit te vient et plus tu grossis et plus tu devrais t'activer, d'un autre côté. Ben, oui. 

Après, bien sûr, faudrait faire de l'exercice pour maigrir.
Attention, je te suggère de te dépenser mais pas de dépenser nos sous en Légion étrangère, troupes espéciales, Rima et autres Rafales au Mali ou ailleurs. Pense un peu à sauvegarder notre pognon pour les retraites, hé, du g'nou. 

Merci pour elles.

S'agissant de la Syrie, mon bébé, n’y penses même pas. Méfie-toi des preuves américaines. C’est une resucée, en rigolade de Georges W. BUSH et de ses armes de destruction massive inexistences. 
Méfie-toi : pour les contrats de pétrole en Irak… Total n’a rien eu, et la reconstruction du pays, que pour les ricains.

La France, niquée. Bien et profondément le copain US nous l’a mis, si j’ose ce petit biais, en bon biaiseur.

Saddam HUSSEIN, en faisant le gendarme de l’occident pour la France, les USA et autres pays voleurs s’est bien fait pendre à son propre jeu. On dit prendre ? Ne s’est-il pas fait prendre et pendre, parce que le jeu du pendu, tu connais, Lolo François ? 
Et maintenant, c'est le bordel en Irak. Pire qu'avant. Merci l'ONU.

Mon bon Chirac, toi le renard français, je t'aime. L’autre, le socialiste est un va-t-en-guerre. On l’appellera François-Guère, deuxième du nom. Ne me remercie pas, Hollande, c'est guère peu !

De mon Café des Cévennes ce 29 août. An de grâce 2013. Pour valoir ce que de droit. Signé : Gilles.
Le dessin de René BOUSCHET. Retraite : Création en 2015 d'un compte pénibilité pour les salariés exerçant des métiers difficiles.
"T'inquiète Papy !... On touche pas à ta misère !... C'est l'entreprise qui paie!"