samedi 18 janvier 2014

Arrêtons le tabac - 1


... et que l’on tire Marianne aux chasses présidentielles.

 Rolando, une fois n’est pas coutume, va vous donner une méthode efficace ne faisant pas appel à la volonté pour arrêter de fumer. Nous espérons que ce premier article vous mettra l’eau à la bouche pour  les deux suivant qui paraitront les 13 et 14 février, pour la Saint Valentin.

Certain président américain serait amateur de tabac. Est-ce une addiction ? Nous ne savons. Chez-nous, en France il paraîtrait… disons, de source sure, il semblerait que certain très haut personnage, côtoyant les étoiles, serait addict au tagada. Tsoin-tsoin.
Mais, ne serait-ce pas mieux qu’être intoxiqué au tabac ? Je vous le demande.

Après un sondage effectué auprès de fumeurs mécontents du prix du tabac, panel mal intentionnée envers notre Président, il apparaitrait que son addiction, pas encore bien inscrite, aurait été causée par le mariage pour tous. Depuis cette loi, dite «la bien-aimée», François de France aimerait convoler avec toutes les belles jeunes femmes rencontrées sur sa route, ne se rappelant plus qu’il est bien achalandé du côté de la belle Valérie. Mais, Dieu que la route présidentielle est longue.

Le mégot après le café du pauvre, que du bonheur. Et puis, et puis… Evoquez en France des amours cachées, et aussitôt la gaudriole s’invitera en folle colporteuse. Qu’il était facile de rire aux dépens présidentiels en évoquant tous scooters en goguette… et casque de pompiers lustré par la bouche experte d’une jolie pouponne.
Et, comme le français moyen, en vilain coquin aime à pratiquer les cachotteries, nous avons une expression savoureuses qui dit bien ce qu’elle veut dire :

- Il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Vous préférez une chatte ? Pourquoi pas !

La hausse du prix du tabac réduirait-elle le nombre de pipes et de fumeuses ? Question de chaude actualité. Toutefois, les françaises préfèreraient savoir qui sera la Première Dame de France à qui  Michèle et Barak OBAMA feront la bise aux States, mais surtout si la Numéro deux aura aussi droit à sa bise américaine, mais surtout pas la New-yorkaise de cet l’hiver. Oui, en France toutes s’inquiètent de savoir qui pourra bien s’accrocher aux basques, à défaut de rattraper le bras de notre émeu national, coureur au pied léger.

Notre Président est-il en train de fumer… On dit fulminer ? Bien. Je ne révèlerai pas un secret en vous disant que tous appellent le chef de l’Etat, Mister President One-to-two* ? Oh, rien à voir avec un fameux bordel, quoiqu’à la réflexion, tout le beau pays de France est complètement retourné, labouré, tersé et hersé.

Connaissant déjà la remplaçante, la Parisienne Madame Number-two (trad. : Madame Lit Deux), il est urgent de savoir si l’Elyséenne Madame Number-one sera de la partie. Fine… oui, fine mouche qui dira si on s’arrêtera au numéro deux…
*Kennedy was called the one-to-twelve, also called One-«to-much»-President.

Après avoir bien fumé, on s’est chaudement expliqué à la Télévision d’Etat. La plus haute autorité des hauts lieux de tous les non-lieux honteux se veut exemple pour notre jeunesse. Notre Champion aura-t-il volé l’état*, escroqué les vieilles, dérapé, expulsé à la manu VALLS militari des Léonarda, interdit de bêtes artistes dieudonnesques, contrôlé au faciès, rempli ces écuries d’Augias que sont nos prisons? Eh, alors ?
Alors, il s’est fait simplement, si simplement amant, cocufiant notre première dame, encore première en cet état… mais si peu cocufiée, tellement peu et en scooter que cela ne compte que pour du beurre.
*il serait bon de savoir, en l’état, si l’accorte dame aura été entretenue sur nos deniers.

Les fumeurs et soiffards, et tous électeurs socialistes, ainsi que les grandes gueules rigolardes, affirmeront que notre Président-couguar aura tiré un coup en mâle vigueur. Les électrices de gauche, pleurnichardes diront que le mâle aura mal agi. Voyez comme les sexes ne se peuvent toujours jamais bien s’entendre.

Surtout ne fumez pas… trompez, c’est bien mieux pour votre santé. Voilà pourquoi je dis, avec notre Président de France et Roi du Mali réunis, restez bien couvert par ces temps de froidure.
Optez fermement pour le cul préférable à la cigarette. Et si vous toussez, n’incriminez pas la cibiche ni tout bonnement un chat dans la gorge. A moins qu’un poil amoureux de votre lutinée petite amie, pas perdu (perdue ? Il faudra bien que je me décide)… donc, par perdu pour tout le monde, ne vous la racle. Et vous, qu’en pensez-vous ?*
*Je n’ai pas bien compris, moi aussi.

Merci, Président pour avoir tant payé de votre personne. La France reconnaissante vous autorise les Marianne aux chasses présidentielles. Et, surtout, pas de période de fermeture, ce gibier est bon à tirer en toute saison… et si délicieux à dépiauter. Ces oiselles valent l’ortolan… quoique, là...

Chasser ? oui, mais à la braconne, s’il vous plaît, vous cachant mieux à l’avenir, Monsieur mon bon Président, tout comme le faisait Kennedy.

Faites l’amour, et faites fumer. Mais, sans tabac. Qu’on se le dise…
Suite au 13 février 2013 : «la feuille de tabac».

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Laissez-moi, Monsieur Président vous donner un petit conseil qui fera vos délices dans vos vieux jours… Rappelez-vous que vous êtes président à plein temps. Oui, à plein temps, il en est ainsi des fonctions.
Prenons un facteur. Durant sa tournée, il lui est interdit de chasser la caille. S’il le faisait, il devrait bien se cacher pour éviter le licenciement. Mais, après sa tournée, qu’il retourne sur ses pas pour se grailler une petite oiselle, même sans faim et  même si c’est répréhensible moralement, et j’y insiste, encore faudra-t-il bien qu’il se cache, non qu’il soit ou non marié ou en concubinage, comme vous. Ou interdit de caille comme vous l’êtes de par votre fonction.

Pour ne pas faire mal en faisant le mal il est impératif, pour vivre heureux, de vivre caché.
Pourquoi, me diriez-vous ? Parce que toutes ses électrices… pardon, toutes les dames de sa tournée, ses usagères auraient pu vouloir se faire tirer en Marianne qu’elles sont toutes, se disant :
- Pourquoi elle et pas moi ? Et qu’est-ce qu’elle a de plus que moi ?
Rappelez-vous Orphée tué par ces dames parce qu’il ne voulait aucune d’elles, sauf Eurydice. A l’hosto… morte, dites-vous ? Ah bon !
Que dire à toutes ces électrices… pardon, toutes ces dames en attente du comblement de votre Hautesse ?

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