Bill's Huge-CASINO* !

Bien comprendre : Res Pubisca !...

LE GRAND CASINO à BILL !...

La notion biblique du travail a changé avec Bill et l’argent devenu virtuel. 

On peut gagner sa vie en jouant même l’argent qu’on ne possède pas.

Et, jusqu'aux fermiers qui vendent le fruit de leur labeur en jouant en bourse. Le monde, le travail et l’argent sont dé-moralisés. Merci Bill.

Il était une fois, en un lointain pays par-delà les mers, un gentil garçon qui avait tant et tant œuvré pour en devenir Président qu’il y parvint, organisa son staff de façon telle qu’il aurait à ne plus se préoccuper que de l’air du temps. Du temps qui passe.

Ce monsieur s’appelait Bill. Il n’était pas très intelligent mais lui seul le savait. Sa force résidait soit à trouver des pis-aller, soit des personnes capables en les plaçant au bon endroit. Sachez qu’en ce pays, avoir les dents blanches, haleine fraîche, sourire enchanteur et carnassier, franche poignée de main, rire tonitruant communicatif, sans oublier d'être grand, beau gosse et protestant, permet d’empocher la mise. Ainsi va de madame la res publica en ce pays de cocagne au soleil pas pour tout le monde. 

Nous ne sommes pas jaloux, Bill-ô-Crême, et nous nous contentons de notre sort.

Quant Beau Bill rit et tâte, car Bill aime à rire et à tâter, et de l’humour, et de la dérision, il met tout le monde dans sa poche pour toucher le jackpot qui consiste à se la couler. Or donc, pour ce faire, il organisa sa vie de Président très simplement :

-Surprenez votre monde et nous gouvernerons, disait-il à ses boys. Et donc, tout un chacun, du bureau ovale en secrétaires d’Etat et conseillers, puis de proches en proches, on avait adopté la méthode à Bill-Grand. Tous disaient donc à leurs subalternes, singeant en cela Monsieur Bill, mais ne le copiant jamais :

-Faites-nous du neuf avec du vieux, messieurs ainsi nous ferons de la bonne œuvre !

Et, tout ce petit monde, gouvernant heureusement à la douce, faisant suer le burnous aux subordonnés, comme cela est de coutume dans l’Armée française et dans les ministères de notre French Republic (ceci est de notoriété publique, mais : chut ! Je ne vous ai rien dit), nous amusa.
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Mais, trop de nouveauté n’amuse que la galerie ou le journaleux car, mal adaptée ou mal venue, non préparée, elle se révèle catastrophique. Pour Great Bill, qui ne s’inquiétait que de brasser du vent, les effets négatifs, qui pouvaient se déchaîner plusieurs années après les décrets d’application ne le concernaient pas. Il laissait cela à la discrétion du futur président de ce grand, beau et noble pays qui prendrait sa suite et la relève. 
Et règlerait l’affaire au mieux des USA ! Mais pas du Monde !

Why ? Beause, we don't care !

Et, l’optimisme ricain, qui pense trouver remède à tous accidents écologiques majeurs pousse à essayer les méthodes, même la plus dangereuse, telle la fracturation hydraulique, quitte à polluer irrémédiablement la Planète Bleue. 
N'est-elle pas belle l’American-Catastrophic-Compagny-Oil and Petroleum, cher, très cher Bille en Tête ? 

Vous tous, fermiers américains et  vous, leurs homologues polonais, et tous indiens canadiens où en est la pollution à grande échelle de l’air, des sols et des eaux de vos si beaux pays ? Et, ces gaz de schiste et  goudrons bitumeux rapporteront-ils quelque chose de bon à vos rejetons, à part des territoires désertés comme Tchernobyl parce qu’impropres à toute vie, de la faune à la flore ? 

Quant à vos enfants et leurs malformations, ce progrès-là, nous vous le laissons volontiers !

Mais, qui a autorisé la fracturation hydraulique sur le sol américain en vue de l’autosuffisance énergétique illusoire, et modifié les lois sur l’eau pour ce faire : est-ce toi, Clinton* ? 
Bi-Bi-Bi-Bill ! Hourra !

Comme de coutume, personne n'est responsable !
*Le Clinton est un cépage interdit en France. Véridique.
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Et, bon René fait une entrée tonitruante dans mon écrit :

-M’enfin, Gilou, tu nous promets ce dixième texte coquin et que voit-on apparaître ? De pseudo considérations économiques, écologiques dans un long laïus. Tu fatigues. 

-Ben, oui et non car, comme disait Jeanne ma petite rouquine coquine, ce qui est long, ce ne sont que les mauvais coups. Et je rajouterai : les mauvais écrits aussi. 

Lorsque tu vas au cinéma, captivé par l’histoire, tu te laisses glisser, mais pas que dans le film… 

Tu me suis ? Tu es devenu ce héros superbe, tripotant la gentille fille à tes côtés, celle qui suce sa glace sans se rendre compte de rien, ni de ta menotte, ni de quelque turgescence que ce soit, et voilà t’y pas que ce con de réalisateur a envie de te casser ton coup. Et tu vois écrit "End". Merde, alors !

Et toi, t’as même pas pu la saisir à la culotte, comme au Rugby aussi, comment passer à l'essai et le transformer ? Ce n’est pas gentil, Monsieur réalisateur. Non, non, non !

Donc, avant que de continuer, si tu parlais de ton ordinateur ?              (à suivre...).
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Notre blog ne marche que sur une patte : l'ordi de René à rendu l'âme. Si quelqu'un avait une bécane portative en trop, nous serions preneur. Nous vous remercierions en citant votre nom en ex-voto. 
-Tu pourrais payer, comme Annie en sucettes à l'anis, Gilou ! Ou mieux, soyons élégant... vous ferons une jolie lettre d'amour pour votre dame, si vous nous laissez son prénom ou même son petit nom d'amour. Promettons, jurons et crachons en toute élégance que nous ne nous en moquerons pas. 
Parole d'honneur ! Vous savez comment nous contacter. Ceci n'est pas une blague.
(NB : ce dimanche 12 avril 2015, avec quelque peu de retard, Hamid, de Carcasonne nous a offert un ordi d'ocasse mais ne réclame pas de lettre pour sa petite copine : il se méfie du Gilou. Dommage. Mais, merci du fond du coeur, Hamid).

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(Suite...). Ainsi, chaque Département d’Etat faisait à sa manière dans la contradictoire nouveauté, et simultanément pour plaire à Gentil Bill, les effets pernicieux à long terme se révélaient pires que le bénéfice immédiat des mesures prises isolément. Tout le monde suit bien ?

Little Bill défit une loi que Roosevelt, dans les années trente avait eu la sagesse de mettre en place. 
Billy Holly Day nous fit même une resucée de Louis XIV avec la Révocation de l’Edit de Nantes : 

Il suffisait de déclarer que tous agioteurs et banquiers fous étaient morts et enterrés, aussi les barrière de Roosevelt devenaient caduques et plus rien n’empêchait de jouer en bourse l’argent des déposants ou celui que les banques ne disposaient pas en réserve.
Et, dans la foulée, supprimons les contrôles de la Banque Fédérale. 

Ah, Roosevelt, si tu voyais ton Benny-ill-Bill comme il est beau, et con à la fois !
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Je m’interdis de jouer mon argent et, chose incroyable, mon banquier le fait à ma place, sans mon accord et en toutes privautés liberticides, meurtrières de l’économie et de la finance, le tout au nom du libéralisme.

Et pourquoi ne pas jouer l'argent du clients et celui qu'on ne dispose pas en réserve ? Expliquons que, lorsque la banque s’enrichit, tout le peuple y gagne. 
Petit-Bill –Bill, Crazy-Bill s’était trompé : Obama et les états ont dû renflouer les banques privées. Un comble. Comme en France. 
Qu'on se rassure : elle ne jouent plus à prêter de l'argent à leurs clients. Trop peu rentable. Depuis qu’elles sont à flot, elles recommencent à agioter, mettant tous les pays sauveteurs en coupe réglée et en faillite, comme la Grèce.

Les pauvres deviendront propriétaire de leur maison, idée géniale, sociale de Oh Billy-Billy car, pas de raisons que les riches, seuls, disposent d’un Home, sweet home. Belle idée.

Et, ainsi, "Avanti tutti"  les emprunts toxique à taux variable. Prêter  même à celui qui ne pourra jamais rembourser, qui n’a pas de garantie, ni de caution… Voilà une idée qu’elle est bonne !

L’Obama se démerdera avec cette idée géniale et mettra dehors les petites gens. A la rue tous les pauvres pendant que les banques ne sauront même plus quoi faire des maisons des expulsés… Le comble du libéralisme.

Et permettons aux malins d’acheter des entreprises sans disposer du moindre argent, hein, Bill-boquet, sans bourse délier et  sans garantie aucune de représentation. Ces coquins, à la Tapie, Bernard, de son prénom, que son père, communiste, se retourne dans sa tombe, même qu’il ferait le gyre-avion qui, avec tous banquiers-vautours tranchent de saucisson des entreprises viables, les mettent en faillite en leur retirant toutes possibilités d’existence pour les vendre à l’encan, mettant au chômage des milliers de salariés.
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Bill-Allez a cassé l’économie par une idée qui paraissait généreuse mais qui, à long terme provoquera la plus grande crise économique et financière jamais rencontrée dans le monde. Pire que la Grande Dépression, avec WWII, sa fille légitime.

Dans notre beau pays de France, Giscard-l’Accordéon, ce généreux donateur des deniers publics français aura été le précurseur de Billy le Petit (Trad.: Billy the Kid) en obligeant les associations loi 1901, subventionnées par le secteur public à chercher leurs emprunts dans les banques privées ce qui n’a eu qu’un seul effet : pomper l’argent du secteur public pour enrichir, à la vitesse grand V, great S Speed, oui, enrichir le secteur privé.

Sainte Rita, patronne des causes désespérées, priez pour nous qui sommes naufragés de l’économie, ces laissés pour compte des systèmes capitaliste, communiste ou socialiste. Alors, quand le bougnat gâche l’argent de la communauté, c’est à désespérer.

En parlant de pomper, que ce soit dans le domaine de l’argent public, de la finance ou de ce qui relève du privé, vous verrez qu’il n’y a qu’un pas que nous franchirons allègrement lorsque nous aborderons, de Bill et de Monica, la commune passion, oh si chaste et pure pour The Pipe, la cornemuse, ses chalumeaux et sa peau de vieille bique. 

Et, oui : Rue de la Pompe restera toujours si parisienne, comme Paris sera toujours Paris.

-Dis, René, sucer, est-ce tromper ?

-Si c'est un chalumeau, non ! Mais, ce type est marié. Il fallait qu’il pense à sa femme. C’est un salaud, le Bill.

-Il est quand même si galant, quand il ment.

-Galant ? Quand il est menacé d’empeachment, il se rétracte, non ? Salaud il est, je te dis. 

-On ne peut pas ne pas lui reconnaître un certain panache, non ?

-Ouais. Se faire sucer l'encombrant par une midinette au QI si élevé qu'elle garde chez-elle une robe tachée d’une carte de l’Amérique présidentielle, pour ensuite révéler ainsi à tous les préférences sexuelles du Bill, telle The Pipe… 
Imagine, Hillary Rodham qui lit dans tous les yeux des grands de ce monde les ébats du couple formé de Bill et de Monica, en toute pompe ! mais, c’est le Pompon.

-Par contre, René, trouve-moi une midinette, même qui garderait une auréole en carte de France, plus petite que celle des USA, il va sans dire, sommes preneurs.

Mais, grâce à Bill-Large-Gate, le monde est devenu un Immense Casino. Tout est  jouable, tout est virtuel. Plus de bien ni de mal, les patrons sociaux ont disparu derrière les Présidents-Directeurs-Généraux et leurs actionnaires pour que les salariés n'aient plus de responsables face à eux. 

Plus rien n’a de la valeur. Seul le jeu compte pour amasser de l’argent, à ne plus savoir qu'en faire, en toute joyeuseté. Et, plus de morale ni de moralité, ni de renom, ni de honte. C’est l’histoire de Monica et de Bill que nous allons vous conter. Sans vergogne aucune !

De mon Vigan, le 1er juin de l'an de grâce 2013. 
À suivre : The Monica-Gate : un regard -1/2.