Cadeau d'anniversaire pour les 85 piges de Rolando ce 7 juin.
Je serai franc. Dans ce texte, je défendrai un Français pris à partie aux States dont je ne donnerai que le pseudonyme (Dominique Astra-Khan), convaincu que ce Monsieur, tous autres griefs mis à part, est innocent des accusations de la New-Yorkaise.
Ailleurs qu’aux States, allez savoir.
Mes amis Johnny, cop américain et Bernard-Jehan de La Vandière, un ami criminologue, ancien pandore se sont fait leur religion : il y aurait eu des manœuvres malsaines contre Dominique. Et, c'est pourquoi, chaque fois que nous rétablissons l’honneur d’un français, sachez que toute la communauté en profite. D’où ce plaidoyer pro nobis !
Bernard et Johnny on bien voulu passer les faits en revue.
-La plaignante, en état de choc est formelle. Le quidam l’aurait obligée à une fellation, puis se précipite à l’aéroport sans prendre de douche…
Là-dessus, on aurait reçu des rapports de police défavorables, aussi bien de France que du FMI et des articles de journaux mettant en cause nommément ce mec : le sexe est son vice.
-Il est exact, que l’état de stress post-traumatique de la dame aura beaucoup compté, reprend Johnny. La précipitation aussi de Dominique : pourquoi était-il à la bourre pour prendre l’avion ? Une fuite ? Non. Impossible : l’argument de la précipitation est tiré par les cheveux et ne tient pas la route.
-Admettons, rétorque Bernard, il n’en reste pas moins que lorsqu’on veut prendre plaisir avec une dame consentante, on donne du temps au temps*. Et ces éclaboussures sur la blouse de Nafi..at ont justifié la mise en détention. Le rapport médical aussi. L'accusation, surtout aux USA compte beaucoup sur les preuves matérielles, les "évidences"…
*Ndlr : Mitterand dixit.
-Je ne comprends pas bien : elle n'est pas déshabillée, lui ne prend pas de douche. Eh, alors ? Pas besoin de se mettre à poil pour une fellation. Mais, pour le viol, il faut des traces. Or, nous savons que le dossier ne signale aucun hématome ou cheveux arrachés, ou griffures ou lambeaux de peau sous les ongles. Qu’en penses-tu ?
-Johnny, l’affaire concerne une séquestration, une agression sexuelle et une tentative de viol.Et pour être franc, le rapport médical de la plaignante signale : « Contusion, douleur musculaire, tension ».
-Pour être plus complet, on note une rupture de ligament à l’épaule et une rougeur sur la fourchette de la foufoune mais qui pourrait être étrangère à un viol. Quant au ligament, on ne sait déterminer la date de la rupture.
-Donc, Johnny, on aurait une dame experte en flûtiau-pipeau ?
-Je te laisse seul juge, Bernard-Jehan, mon ami.
-Tu as raison : la plainte porte sur une fellation et une pénétration. Et c'est sur ce point que Cyrus Vance Jr. décide d'abandonner les charges car Dominique n'aurait pas eu le temps matériel pour ce faire, les bandes vidéo du couloir sont formelles, sans compter que deux bandaisons aussi rapprochée... incroyable : nôtre gentil violeur serait plus qu'exceptionnel, en l'affaire. Donc, la dame a menti.
-Nous avons beaucoup réfléchi, en France. Une femme de chambre est soigneuse de sa tenue. Et des taches de sperme, et l’odeur ne font pas bon ménage, c’est le cas de le dire, dans les grands hôtels.
-Donc, pour toi, Dominique aurait dû éjaculer ailleurs que sur la blouse, ou demander à la dame de l'enlever, ou d’avaler, non ?
-Oui. C’est quand même étrange. Mais toi, en connais-tu beaucoup qui avalent ? Et puis, le type n’a pas le temps de prendre une douche. Pourquoi ? Et penser qu'à Paris sa femme doit l’attendre ! Ce n’est ni galant, ni prudent. Et puis, l’odeur dans l’avion...
... quoique, pas besoin de douche après une fellation, suffit de pisser ! Et puis, ces tâches sur la blouse de la dame ne prouvent qu'une chose : que Dominique est un sacré porc.
Pour faire plus simple, je vais vous résumer les conclusions auxquelles nos deux amis flics se sont livrés. Ils posent le préalable Sarkozy qui aurait remué ses petites fesses pour poisser Dominique connaissant le goût immodéré de cet ogre pour la bonne chair, car il fallait éliminer ce monsieur de la course à la Présidentielle.
Pastis, petit repas, vin rouge de Laudun, whisky (juste un doigt, merci), Calvados, Fine Champagne et la conversation prend un tour plus joyeux que j’essaie de vous restituer. C’est alors que Bernard-Jehan a usé d’une expression surprenante dans sa bouche d’aristocrate bien élevé pour parler de notre client : Queue d’Ane. Et, Johnny, pour ne pas être de reste a baptisé Nafi..at de : Peau d’Ane. Le couple était donc formé.
-Palper et pomper de sa jolie bouche...
-Johnny, t’as vu comme elle pleure bien et aime toucher ? Et l’Eglise du quartier qui la soutient.
-Et tâter... elle aime. Et empoigner, mettre en bouche pour mieux toucher du pèze, tu veux dire. Elle a de l’appétit, la dame.
Je voyais bien que les choses
dégénéraient mais leur analyse restait parfaite. Sans défaut aucun. Parfois, je
me demande si cette accorte violette (étymologiquement de violée... ou
l'inverse, ou peut-être pas ?) ne serait pas un tantinet coquine ? Je m’explique, car…
Car, pour faire cracher au bassinet, elle aura poissé notre icône française, ce fleuron à l’exportation : nôtre avion renifleur du tafanar, et c’est par millions de dollars qu’elle va faire dégorger le poisson. Dommage qu'après avoir touché autant d’argent, elle ne pourra plus servir (quelle expression triviale de Johnny), être utilisée, et plus si affinités, (d’après Bernard-Jehan) comme femme de chambre payée sous la blouse, (c’est du Gilou). Une perte pour l'industrie Hôtelière US. Espérons qu'elle ne perdra pas sa Green-Card si nécessaire à la prostitution bon enfant aux USA, n’est-il pas, Nafi..at ?
Triste aussi tous clients qui s’ennuient, le soir venu, en leur suite. Ah, pouvoir disposer d’un tapis moelleux , d’une main experte et amicale, être mis en bouche, à la rigueur. Le pied, le panard !
Mais, qui donc dans les hôtels étoilés américains pourra jouer à la Green-Card du tendre, ce vieux jeu si français, si précieux, dans lequel toucher n’est pas jouer, hein, Dominique ? Et quand tu touches, cela fait tilt. Game over ! Allez à la case prison sans passer par l’aéroport !
A Rickers Island, la bien nommée.
Oui, mais non, Nafi..at, le monsieur a éjaculé et vous nous parlez de violence ? Et, non encore : cette éjaculation ne plaide pas en votre faveur. Le juge américain a dû vous en faire remarque. Parce que, à ma connaissance, et ici je parle par expérience, pour zouir, couilles au vent ! (l'expression française originale qui fera mourir de bonheur nos amis canadiens étant : jouir à couilles rabattues), vous vous êtes évertuée, Nafi..at !
Notez encore la beauté de la langue française: couilles rabattues par le vent de la course, vieux mot français utilisé encore en Normandie de nos jours dans l’expression de salutation affectueuse: « Hé, ma couille ! »
Chère Nafi..at, pour jouir, en étant pris par ta gentille bouche, il aura fallu un accompagnement sérieux et attentionné de ta part. Faute de quoi, pas de bouquet final par un avalement gracieux, et quelques billets de banque glissés dans ton corsage, en cadeau d’adieu.
Mais, comme tu ne l’as pas avalé, beurk, Dominique a refusé de rétribuer ta peine. Correct, Ma’ame ? Voilà pourquoi tu as porté plainte contre lui pour recevoir le prix de ton labeur.
Les dames vertueuses n'avalent pas mon histoire mais continuent à me lire. Merci. Comment, mais comment imaginer qu’un type puisse introduire quelque chose de sa personne dans la bouche d’une dame, et jouir sans qu’il ne risquât un douloureux (enfin, je subodore) coup de crocs en représailles ? Je ne comprends pas, Madame Nafi..at. Vous portiez un appareil dentaire mal collé ?
Mais, fallait y penser avant. Parce que le D-A-K, vous le connaissiez, n’est-ce pas ? Un directeur du FMI bien outillé et qui aide l’Afrique avec de l’argent. Le pèze, vous saisissez, Madame ?
N’étiez-vous pas consentante, Madame, même pas un petit peu ? Honnêtement, je n’ose imaginer. Parce que quand même, à cause de la phobie de la castration, les petits garçons ont tous en poche un canif talisman pour se rassurer, Astra-Khan (Dominique, de son prénom) n’a pas grandi, que je sache, pour jouer à de tels jeux de bouche, jeux de tarbouche, sans peur de la dent féminine.
Et donc, Madame, parions que vous aviez accompagné ce monsieur jusqu’à la jouissance en serrant de vos mains le pipeau tout en portant en bouche son bec. Qu’en pensez-vous, très chère Nafi..at ?
Et, en habitué des choses de la vie, j’imagine le Dominique en peine à jouir. Alors, là c’était vraiment la corvée. C’est d'un long, hein, Nafi..at. Si Dominique t'avait payé, petite Madame, tu n'aurais pas été si loin, et pas de plainte hein ?
Dominique a bien été achevé, puisqu’il y a des éclaboussures de sperme sur ta blouse. Et donc, Nafi..at a bien menti, Monsieur le Procureur Américain, Cyrus Vance Jr. Qu’en pensez-vous, chère Nafi..at ?
-Am I all right ? (trad. Suis-je tout raide ?).
Je trouve les cops américains aussi futés que nos pandores, mais nos Gendarmes plus vifs de la comprenette et les cops plus rapides sur la gâchette.
Notre avantage tient, en grande partie, à nos pratiques sexuelles plus variées qu’aux States. D’où ce flair légendaire que tous nous envient.
Et puis, messieurs les policiers américains, elle vous a menti, la belle Nafi..at pour obtenir la Green Card. Elle aurait déjà été violé, la pauvrette. Bon, tu diras qu'en Afrique, c'est plausible, de rencontrer des Dominique. Aux States aussi ? Ah.
Je l’imagine la dame voletant à l’entour, petit papillon violé, à la recherche d’un petit tas d’argent à éponger, en femme de ménage coquine. Mais violable. Et alors, avec la Green-Card, si utile à tout et surtout en pompe à fric…
Le complexe de Don Juan. Et le psy que je suis se demande : et si cette appétence pour toutes femmes qui passent à portée était le complexe de Don Juan ?
Ne sachant s’il est homme ou femme de par son prénom ambigu, Dominique serait toujours en recherche de sa vraie nature et tenterait en permanence de se rassurer en allant zouir (jouir) à couilles rabattues.
Quand au prénom de ses proies : Tris.anne, Nafi..at… Prénom rares. Tiens, si je l’ajoutais à mon tableau de chasse, se dit-il ? Parce toujours des Anne, des Marie-Pierre, des Marie-Paulette, des Maria-Elyse, des Marie-Chantal… Et que vive le changement.
Et, comme disait Dominique Astra-Khan, beau joueur :
-Les millions qu’elle me pompe, c’est pour la bonne bouche !
Cher Astra-Khan, si tu passais par chez-nous, je te paierais un pot. Parce que, pour moi, tu es toujours innocent. Et Français.
Qu'on se le dise !
Le Vigan, le 5 juin de l'an de Grâce 2013 pour le 7 juin, anniversaire de Rolando. Merci.
Car, pour faire cracher au bassinet, elle aura poissé notre icône française, ce fleuron à l’exportation : nôtre avion renifleur du tafanar, et c’est par millions de dollars qu’elle va faire dégorger le poisson. Dommage qu'après avoir touché autant d’argent, elle ne pourra plus servir (quelle expression triviale de Johnny), être utilisée, et plus si affinités, (d’après Bernard-Jehan) comme femme de chambre payée sous la blouse, (c’est du Gilou). Une perte pour l'industrie Hôtelière US. Espérons qu'elle ne perdra pas sa Green-Card si nécessaire à la prostitution bon enfant aux USA, n’est-il pas, Nafi..at ?
Triste aussi tous clients qui s’ennuient, le soir venu, en leur suite. Ah, pouvoir disposer d’un tapis moelleux , d’une main experte et amicale, être mis en bouche, à la rigueur. Le pied, le panard !
Mais, qui donc dans les hôtels étoilés américains pourra jouer à la Green-Card du tendre, ce vieux jeu si français, si précieux, dans lequel toucher n’est pas jouer, hein, Dominique ? Et quand tu touches, cela fait tilt. Game over ! Allez à la case prison sans passer par l’aéroport !
A Rickers Island, la bien nommée.
Oui, mais non, Nafi..at, le monsieur a éjaculé et vous nous parlez de violence ? Et, non encore : cette éjaculation ne plaide pas en votre faveur. Le juge américain a dû vous en faire remarque. Parce que, à ma connaissance, et ici je parle par expérience, pour zouir, couilles au vent ! (l'expression française originale qui fera mourir de bonheur nos amis canadiens étant : jouir à couilles rabattues), vous vous êtes évertuée, Nafi..at !
Notez encore la beauté de la langue française: couilles rabattues par le vent de la course, vieux mot français utilisé encore en Normandie de nos jours dans l’expression de salutation affectueuse: « Hé, ma couille ! »
Chère Nafi..at, pour jouir, en étant pris par ta gentille bouche, il aura fallu un accompagnement sérieux et attentionné de ta part. Faute de quoi, pas de bouquet final par un avalement gracieux, et quelques billets de banque glissés dans ton corsage, en cadeau d’adieu.
Mais, comme tu ne l’as pas avalé, beurk, Dominique a refusé de rétribuer ta peine. Correct, Ma’ame ? Voilà pourquoi tu as porté plainte contre lui pour recevoir le prix de ton labeur.
Les dames vertueuses n'avalent pas mon histoire mais continuent à me lire. Merci. Comment, mais comment imaginer qu’un type puisse introduire quelque chose de sa personne dans la bouche d’une dame, et jouir sans qu’il ne risquât un douloureux (enfin, je subodore) coup de crocs en représailles ? Je ne comprends pas, Madame Nafi..at. Vous portiez un appareil dentaire mal collé ?
Mais, fallait y penser avant. Parce que le D-A-K, vous le connaissiez, n’est-ce pas ? Un directeur du FMI bien outillé et qui aide l’Afrique avec de l’argent. Le pèze, vous saisissez, Madame ?
N’étiez-vous pas consentante, Madame, même pas un petit peu ? Honnêtement, je n’ose imaginer. Parce que quand même, à cause de la phobie de la castration, les petits garçons ont tous en poche un canif talisman pour se rassurer, Astra-Khan (Dominique, de son prénom) n’a pas grandi, que je sache, pour jouer à de tels jeux de bouche, jeux de tarbouche, sans peur de la dent féminine.
Et donc, Madame, parions que vous aviez accompagné ce monsieur jusqu’à la jouissance en serrant de vos mains le pipeau tout en portant en bouche son bec. Qu’en pensez-vous, très chère Nafi..at ?
Et, en habitué des choses de la vie, j’imagine le Dominique en peine à jouir. Alors, là c’était vraiment la corvée. C’est d'un long, hein, Nafi..at. Si Dominique t'avait payé, petite Madame, tu n'aurais pas été si loin, et pas de plainte hein ?
Dominique a bien été achevé, puisqu’il y a des éclaboussures de sperme sur ta blouse. Et donc, Nafi..at a bien menti, Monsieur le Procureur Américain, Cyrus Vance Jr. Qu’en pensez-vous, chère Nafi..at ?
-Am I all right ? (trad. Suis-je tout raide ?).
Je trouve les cops américains aussi futés que nos pandores, mais nos Gendarmes plus vifs de la comprenette et les cops plus rapides sur la gâchette.
Notre avantage tient, en grande partie, à nos pratiques sexuelles plus variées qu’aux States. D’où ce flair légendaire que tous nous envient.
Et puis, messieurs les policiers américains, elle vous a menti, la belle Nafi..at pour obtenir la Green Card. Elle aurait déjà été violé, la pauvrette. Bon, tu diras qu'en Afrique, c'est plausible, de rencontrer des Dominique. Aux States aussi ? Ah.
Je l’imagine la dame voletant à l’entour, petit papillon violé, à la recherche d’un petit tas d’argent à éponger, en femme de ménage coquine. Mais violable. Et alors, avec la Green-Card, si utile à tout et surtout en pompe à fric…
Le complexe de Don Juan. Et le psy que je suis se demande : et si cette appétence pour toutes femmes qui passent à portée était le complexe de Don Juan ?
Ne sachant s’il est homme ou femme de par son prénom ambigu, Dominique serait toujours en recherche de sa vraie nature et tenterait en permanence de se rassurer en allant zouir (jouir) à couilles rabattues.
Quand au prénom de ses proies : Tris.anne, Nafi..at… Prénom rares. Tiens, si je l’ajoutais à mon tableau de chasse, se dit-il ? Parce toujours des Anne, des Marie-Pierre, des Marie-Paulette, des Maria-Elyse, des Marie-Chantal… Et que vive le changement.
Et, comme disait Dominique Astra-Khan, beau joueur :
-Les millions qu’elle me pompe, c’est pour la bonne bouche !
Cher Astra-Khan, si tu passais par chez-nous, je te paierais un pot. Parce que, pour moi, tu es toujours innocent. Et Français.
Qu'on se le dise !
Le Vigan, le 5 juin de l'an de Grâce 2013 pour le 7 juin, anniversaire de Rolando. Merci.
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