Bien comprendre ; Sexoman ! |
Monica s’est ingéniée à offrir une cornemuse à Bill espérant être invitée par the President of the USA.
Le couple pourra-il partager quelques petites discussions entre gens du monde ?
Monica
reçut un mot qu’elle voulut croire de Mister President lui-même. La lettre la remerciait pour ce don. Sur les bandes de surveillance, il avait reconnu le joli minois du petit chaperon rouge
coiffé de son si reconnaissable béret noir, porté fièrement à la française.
Toute de rouge vêtue Monica devenait le loup blanc. C’était à croire qu’elle le faisait exprès ce choix du rouge pétard. Mais, pourquoi se demanda Beau-Bill, je ne comprends pas.
Toute de rouge vêtue Monica devenait le loup blanc. C’était à croire qu’elle le faisait exprès ce choix du rouge pétard. Mais, pourquoi se demanda Beau-Bill, je ne comprends pas.
Et cette cornemuse pourquoi encore ?
Le sang de
Bill-Bang ne fit qu’un tour. Il avait maintenant une adresse. Il se mit à réfléchir sur le comment justifier, trouver un motif plausible… Et, que faire pour que rien
ne paraisse.
Attention à ta femme, se disait Bill-Déconne. Ne pas faire l'abruti. Mais, conclure il te faut. La petite nana à la cornemuse ne doit pas avoir froid aux yeux. Elle sait ce qu’elle vient chercher. Donne-lui Bill, donne le lui ce qu’elle cherche. Récompense-la !
Attention à ta femme, se disait Bill-Déconne. Ne pas faire l'abruti. Mais, conclure il te faut. La petite nana à la cornemuse ne doit pas avoir froid aux yeux. Elle sait ce qu’elle vient chercher. Donne-lui Bill, donne le lui ce qu’elle cherche. Récompense-la !
Et, en homme qui se doit d’aboutir coûte que coûte,
parce qu'il se respecte, il proposa, par quelques mots sur bristol de lui faire visiter la
Maison-Blanche en remerciement.
Il rectifia sa virilité dans une des glaces du bureau ovale, se mira, puis s’admira. Il se
savait beau garçon, fort et très doux à la fois. Et Président des USA, que
diantre ! Il se pensa :
-Bon Dieu, faut qu’elle passe à la casserole, la petite dinde.
-Bon Dieu, faut qu’elle passe à la casserole, la petite dinde.
En cette période de Thanksgiving, le Président des USA avait
sacrifié à la tradition et sauvé une dinde d’une mort certaine et donc, il
fallait bien qu’il se rattrape à en sacrifier une autre. Cela le fit rigoler.
-Monica, il connaissait son prénom, une dinde ! Et il se tapa sur les
cuisses !
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-René, qu’en penses-tu ? Trop
long, pas assez sexe, on va zapper ?
-Parce que tu crois qu’ils vont aller au
bout de ton écrit, pauvre Gilou. Compte là-dessus et bois de l’eau fraîche.
-Bien
évidemment que je vais les convoyer jusqu’au bout, avec moi.
-Plaudite, cives ! Il n’y a pas de suspense
dans ton écrit. Tout est dit, la farce et connue…
-Ce que tu dis, René, c’est du latin pour nos internautes.
-Ce que tu dis, René, c’est du latin pour nos internautes.
-Cela veut dire : Citoyens, applaudissez. C’est ce que sollicitaient, des spectateurs,
les acteurs latins à la fin de leur représentation.
-Parce que
tu connais la fin de mon écrit, René ?
-Je veux, mon neveu. Elle lui taille une
flute, il lui fait une plume et la messe est dite.
René pensait tenir, de mon écrit, le final. Eh, non ! Si vous le désirez, cher
internautes, vous tous si bien accrochés à mes basques pour connaître la suite des
tribulations de la belle Monica et de son irrésistible Bill, sachez que les
choses ne sont jamais aussi simple que ce que l’on espèrerait.
Et puis, d’une histoire d’amour quelque peu
troublée par de méchants troublions, n’en faisons pas une histoire de sexe.
Et, pourquoi l’amour, à bouche ouverte et toute couverte de baisers, à gorge profonde déployée pour laisser couler le jus des sucettes, ne serait-il pas simple comme chaste amour qui ne demande qu’à être narrée en conte de fées ?
Et, pourquoi l’amour, à bouche ouverte et toute couverte de baisers, à gorge profonde déployée pour laisser couler le jus des sucettes, ne serait-il pas simple comme chaste amour qui ne demande qu’à être narrée en conte de fées ?
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A la Maison-Blanche, Monica se tint à l’invitation de son Bill, ce Prince Charmant
qui lui mangeait déjà dans la main. Nul ne peut dire qu’ils ne se plurent pas.
Ils n’échangèrent que des regards et qu'une longue poignée de mains. Une
promesse déjà. Bill, rompit le silence lorsqu’ils furent seul :
-J’ai besoin d’une stagiaire, Madame. Un peu
particulière, quoique, en la matière…
Merde, se
dit Monica. Un chaud, le Bill-Bunny. Dans cinq minutes, il va me
culbuter !
-Oui, une secrétaire particulière. Eh, bien, voyons, dans le domaine, dans le domaine…
-Oui, une secrétaire particulière. Eh, bien, voyons, dans le domaine, dans le domaine…
-Monsieur le
Président, je n’ai pas de diplôme de secrétaire, ni particulière, ni…
-Mais, qui vous parle de diplôme ? Ce ne serait
qu'une sorte de stage au début et, si vous me convenez … Bill-Libidineux se
rendit compte qu’il devait rattraper le coup qui partait en twist (trad.: qui
foirait).
-Stagiaire à disposition de la Présidence. Qu’en dites-vous?
Merde, se
pensait encore Monica. Un rapide qui sait ce qu’il veut. Et tu fais quoi, ma fille ?
-Mister President, I beg your pardon, but
I’ve to talk to Dad and Mam !
(Trad.: Monsieur Président, je mendie votre pardon mais je dois parler a Dad et Mam ! Dad et Mam, sont-ce des syndicalistes ? Nous le subodorons !).
(Trad.: Monsieur Président, je mendie votre pardon mais je dois parler a Dad et Mam ! Dad et Mam, sont-ce des syndicalistes ? Nous le subodorons !).
Monica faisait toujours de son mieux, et elle le prouvait, ayant
été élevée dans la stricte observance de la religion et des préceptes que toute
bonne et honnête fille doit mettre en pratique, Dad et Mam lui donnèrent-ils leur
bénédiction ? Oui !
(En fin de compte, les syndicalistes se révélaient être des religieux et n’étaient pas communistes. Voyez comme on peut se tromper).
(En fin de compte, les syndicalistes se révélaient être des religieux et n’étaient pas communistes. Voyez comme on peut se tromper).
Monica
prit son service le lundi suivant. Bill fut attristé. La gentille
demoiselle avait troqué sa robe rouge assassin avec un tailleur gris anonyme
qui, certes lui moulait son joli cul et rehaussait ses seins en encorbellement
mais, le mais est que Bill-Rose, morose, se morfondait et n’osait dire.
Monica, en fille perspicace comprit tout de suite, s’excusa, demanda l’autorisation de rentrer chez elle se changer et revint en rouge pétard.
Monica, en fille perspicace comprit tout de suite, s’excusa, demanda l’autorisation de rentrer chez elle se changer et revint en rouge pétard.
A son retour,
le Président cramoisi resta sans voix de longues secondes, comme frappé
d’apoplexie ce qui inquiéta un des G-Men, et tous les :
-Monsieur le Président, Monsieur le Président… restèrent sans réponse.
Hillary, la First Lady, en reine de la ruche était en représentation perpétuelle,
ce qui n’était pas pour déplaire à certains à la Maison Blanche. Je ne parle
pas que pour le Président…
-Veux-tu
venir avec moi à l’inauguration du musée, non ?
-Mais, non, chérie. J’ai besoin de me
ressourcer. Tu représentes si bien les Etats-Unis et le chic de la femme Yankee.
Je t’assure, les femmes du monde entier t’envient et voudraient te
ressembler. Je suis fier de toi, et que tu es belle lorsque tous les projecteurs
et les regards sont tournés vers toi. Je ne t’ai jamais vue plus
resplendissante : une étoile est née, chérie, sache-le.
Jamais on ne vit la
Maison Blanche plus heureuse, sauf, peut-être lorsque les
collaborateurs de Nixon savourèrent l’annonce de la chute de leur président-barbouze
par le scandale Watergate. Mais, selon l’adage que ce qui fait le bonheur des
uns fait le malheur des autres, toute la maisonnée blanchie bourdonnait en toute médisance tandis que le faux-bourdon Little-Big-Billy chantait d’allégresse et que la reine des
abeilles voletait au loin...
Tu
parles d’un ressourcement. Un appel au brame, oui la Monica. Billy-Holly-Horsy
ne pensait qu'en étalon : au cul. Et, qu’au cul de Monica, sa pouliche. Mais, oui ! On peut être président du
pays le plus puissant du monde et ne désirer qu’appuyer sur le bouton
anatomique de Monica pour la torturer de bonheur et la rendre folle de plaisir.
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-Dis, René,
tu m'as vu faire monter le sexe. C’est bon ? Je ne déçois pas nos internautes
chéris : ils suivent tous ?
-Entre-nous, je te trouve un peu long dans
tes préliminaires comme dirait Rolando et tu sais que les préliminaires…
-Oui, je sais, mais j’y arrive.
Monica
pensait que tous l’aimaient à la Maison Blanche. Les secrétaires la saluaient, au matin d'un :
-Bonjour, chérie ! Mais, dès qu’elle avait montré ses fesses
elles disaient, en bûcheron :
-Un cul passe ! Attention au cul ! Timber ! Parce que le cul devait tomber,
on n’en doutait pas, et dans l’escarcelle de Mister Bill-Président. De quel côté, et écraserait qui ? Peu importait. Mais tous savaient que Bill-Graveleux avait une cognée redoutable qu’il
tenait bien en main.
Les hommes, plus respectueux de l’autorité du chef, et le jalousant disaient :
Les hommes, plus respectueux de l’autorité du chef, et le jalousant disaient :
-Mes hommages, mademoiselle. Je vous trouve
ravissante, ce matin, mais n’en pensaient pas moins à son cul et ses seins,
et sa bouche et ses jambes et ses dents et son sourire et son petit ventre et
son port de reine !
Certaines
secrétaires, si elle avaient eu la certitude qu’on ne pourrait pas remonter à
elles auraient bien adressé, pour le plaisir, quelques coups de fil à la first
lady pour lui demander de se méfier du cadeau empoisonné (du genre de cette
baie rouge qu’on appelle en Cévennes un gratte-cul, fruit de l'églantier), cadeau en forme de stagiaire corvéable à merci que s’était offert Mister
Bill, President of the United States of America.
Et
les échafaudages les plus précaires se dressaient, du genre :
-Il se la tape. Non, il ne se la tape pas.
-Elle lui fait une collation. Non, elle ne le prend pas en bouche. La preuve, on s’est fait la bise tout à l’heure et je n’ai rien senti de tel.
-Il se la saute à nouilles rabattues. Non, il ne lui fait qu’une langue.
-Elle emmanche sa cognée. Non, elle le caresse.
-Elle aspire. Non, elle soulage.
-Il la pousse. Non, il la cogne.
Le pire en cruauté et saleté étaient les femmes, jalouses qu’elles étaient du bonheur de Monica et de son président, comme si elles voulaient être à la place de la petite stagiaire. Pour sûr, elles auraient été plus imaginatives, textuellement, que la petite Monica. Et elles savaient de quoi elles parlaient.
-Ah, faire hurler en loup un président ! disaient-elles, en femmes d'expérience.
-Il se la tape. Non, il ne se la tape pas.
-Elle lui fait une collation. Non, elle ne le prend pas en bouche. La preuve, on s’est fait la bise tout à l’heure et je n’ai rien senti de tel.
-Il se la saute à nouilles rabattues. Non, il ne lui fait qu’une langue.
-Elle emmanche sa cognée. Non, elle le caresse.
-Elle aspire. Non, elle soulage.
-Il la pousse. Non, il la cogne.
Le pire en cruauté et saleté étaient les femmes, jalouses qu’elles étaient du bonheur de Monica et de son président, comme si elles voulaient être à la place de la petite stagiaire. Pour sûr, elles auraient été plus imaginatives, textuellement, que la petite Monica. Et elles savaient de quoi elles parlaient.
-Ah, faire hurler en loup un président ! disaient-elles, en femmes d'expérience.
Et tenir en main l’homme le plus puissant du monde pour finir par
le porter en bouche, le brider, être maîtresse des destinées de cet homme et du Monde…Jouissif, non, mesdames ? Et finir par faire braire ce bourricot !
Les hommes, eux supputaient leur pouvoir à contenter la Monica. Ils se savaient plus doué que Mister Président, quoique ravis de son bonheur ! Et, s’ils avaient pu être spectateurs, ils l’auraient encouragé à se surpasser, en bons G-men qu’ils étaient.
Les hommes, eux supputaient leur pouvoir à contenter la Monica. Ils se savaient plus doué que Mister Président, quoique ravis de son bonheur ! Et, s’ils avaient pu être spectateurs, ils l’auraient encouragé à se surpasser, en bons G-men qu’ils étaient.
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Dans l'instrument offert à Bill-Harder, Monica se surprenait à aimer y souffler et prendre en sa belle bouche peinte le chalumeau, le serrant délicatement en ses lèvres
sans y jamais mettre la marque de ses dents, et y soufflant jusqu’à gonfler l’outre*.
Puis, le bourdon* se mit à donner de la voix et, les doigts sur le chalumeau* se
mirent à faire trembler l'air. Et Bill-Roi ferma les yeux de bonheur et se
laissa aller à cette paix intérieure qui accompagne tous les contentements du corps.
*De l'instrument présidentiel, of course !
*De l'instrument présidentiel, of course !
Quel
plaisir pour Billy-Brandy mais, certains affirment que la petite stagiaire ne parvint
jamais à tirer quelque son de l’instrument du Président.
Les jaloux
et médisants étant légion, ne nous mêlons pas à eux. Et, pour ce qui me concerne, je ne sais
qu’une chose : c’est que je ne dirai rien car, comme dit le sage, je mets ce que
je veux en bouche et rien n’en sortira que je ne voudrais.
Quant
au Procureur Général, il aura fait plus de mal à Hillary que ce que Beau-Bill ne lui en avait
fait.
Déclarons que l’alcôve, même présidentielle, doit demeurer du domaine de l’intime, du sacré.
Déclarons que l’alcôve, même présidentielle, doit demeurer du domaine de l’intime, du sacré.
Voilà.
C’est fini. Et tant pis pour vous. Je vous avais prévenu. Mais, que c'est beau, cette histoire d'amour !
Le
Vigan de mon Café des Cévennes, ce samedi 1er juin de l’an de grâce
2013.
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