vendredi 28 septembre 2018

L'écologie par l'exemple !...




Les platanes  du Plan d'Auvergne
ont eu l'indélicatesse de tomber malade, comme ça, subito presto et sans crier garde...
 ...Tous furent-ils atteints ? Enfin, pas tous.
 Tous sondés ? Euh ! Faut croire.
Fallait-il en épargner ?
Allons, allons ! coupons court et restons-en là.

Pour notre consolation, ce "rafraîchissement" salutaire nous épargnera la chute des feuilles,
cette calamité d'où nous viennent tous nos maux
durant les épisodes cévenols d'automne.

Certains, aux éco-dialogues de mauvaise foi se permettront :
"-De quoi que tu causes encore ?"
"-Ben... des feuilles qui in-adaptent à 
nos pluies torrentielles d'automne
et nos trottoirs pop-art et
nos modernes bouches d'égouts rock 'n roll que même notre rivale, la ville de Ganges ne voudrait même pas si on les leur donnait gratis. J'te jure !

Oui, car quant il pleut fort, que tu marches sur le  trottoir ou sur la rue qui sont à niveau, c'est kif-kif dans tes godasses, 
et ça fait : 
"floc-floc". 
Après la pluie vient le séchage des chaussettes, alors tu te balades pieds-nus chez-toi, et bonjour le rhume !
 
 Ces trottoirs qui ne peuvent canaliser l'eau des rues et ces avaloirs que les feuilles bouchent trop facilement eussent-ils été mieux conçus que les platanes auraient quand même 
tous passé l'arme à gauche.
Mais, pourquoi ?
Mais, parce que ! 

Espérant n'avoir froissé personne
et, sachant qu'en notre bonne ville, tout se finit en chanson
j'entonnerai un de profondis
de carabin car...

... mais, oui ! car, passons et faisons confiance à notre bonne ville qui saura se faire encore plus belle
pour accueillir les éco-dialogues 2018.

PS: René Bouschet me signale que l'oubli d'une virgule quelque part dans mon écrit mais, comme j'attends qu'il consente à m'en signaler l'endroit, je laisse le texte en l'état. De plus, il me demande de lui faire un peu de place. 
OK et... A toi, René !
 "-Z'auraient quand même pu attendre après le 11 novembre, 
au lendemain des Eco-dialogues pour tomber ces arbres.
 C'aurait été plus propre".
 
"-Ben, oui René, du propre... Mais, de quoi je me mêle, René ?"