dimanche 31 mars 2013

Sommaire de mars 2013. -3.



Dis-voir Gilou, t'as goûté!?
le camembert grillé dans sa boite!
Cuisine en giboulées. Le pelardon à l'huile, la soupe à l'oignon, l'aïgo boulido!

Pique et pique de René! notre cher François!

Ma rivière au clair de lune...
la plus belle rivière de France. 

Moktar à la vendange! les belles vendanges de Jean!

C'est beau Paris! 4ème. Parfait et Isabelle main dans la main aux Tuileries.
 
Bonjour amour... petit usagier destiné aux amoureux de la vie parce qu'ils aiment la politesse et les femmes.

L’Arletta de Rolando. Rester belle, belle, belle. A 70 ans bien sonnés. Se faire une teinture de cheveux et se brûler les lèvres. Et finir aux urgences!

The organ of love! C’est encore et toujours Barbara. Ici, trop de «photos» de femmes à nu dans ce blog. Cela semble la dégoûter. Il faudrait que les hommes se soignent. Ils sont trop obsédés. Mon Dieu, un corps nu. Horreur.

Le ciel de mes adolescences. Hymne à René, Julyane et Ulysse et tous ces scrutateurs du ciel qui comptent pour nous les étoiles. Chant composé à l’occasion de la venue de Panstarrs et l'arrivée d’Ison que nous espérons pour la naissance de Jésus, le 25 décembre 2013.
Pour dire encore, qu’en ces soirées d’été, à la belle étoile, sur nos monts cévenols, on se sent plus près de Dieu.

Un pape s’en va et… viva il papa! C’est l’histoire d’un mec seul sur terre qui remplace un autre mec. D’un certain côté, c’est bien. Le pape n’est plus seul sur terre. De l’autre, être l’unique, c’est peut-être mieux.
Donc, François Premier se met au niveau de Pierre Premier. Merci bien.

Le dernier Psaume. Nous interpellons et comprenons qu’on puisse nous reprocher d’avoir composé ce nouveau psaume, nous qui avions décidé de ne rien retrancher ni rajouter au Livre de l’Eternel! Mais, au nom de la Beauté, nous le laissons en l’état!

Les fous sectorisés. Une idée italienne magnifique consistant à sortir les fous des asiles pour les aider à redevenir citoyens à part entière. Et puis, par suite de la paupérisation voulue du système de Santé, la justice et ses juges les ont remis en prison. Et c’est mieux ainsi. Ils n’emmerderont plus personne. Désolé, mais le terme signifiant, ici, la prison... est choisi, il va sans dire.
Affirmons donc que, grâce à la Justice, les fous en prison sont déclarés "normaux" et redeviennent citoyens à part entière. Merci bien!

Psaume 151. Psaume à l’Eternel, de Rolando. Au Maître des chantres, sur l’orgue africain. Psaume composé pour dire que les juges se doivent de faire le droit au pauvre. Chanté par le poète Américo.

Oh Agatha, ma chienne!  Une jolie fable avec Fanny ma compagne, Agatha ma petite chienne et deux gros clébard Grand-danois qui ne pensent qu’à jouer.

Mathilde s’est payé un cochon. Vrai de vrai. Mathilde veut pouponner. Elle aime tant les bébés. Et s’entoure de toutes sortes d’animaux et de leur progéniture. Pour finir, elle va à la Ddass des animaux adopter un cochon nain. Et que je te baigne bébé cochon, et que je te le lange et  que je lui prépare ses biberons! Et que je te fais faire ton rôt, mon cochonnou joli!

La femme de mes 8 mars. Un bouquet de fleurs à la première inconnue que l'on rencontre au saut du lit..

La sapience de Rolando. Ici, vous découvrez, de 1934 à 1943, le cancre Rolando qui n’avait qu’un seul bonheur à l’école: lorsque le cahier de jour était plein, il fallait le renouveler.  Quel plaisir de toucher ces nouvelles pages blanches, immaculées. On y écrit proprement son nom, la mention : «Commencé le… et fini le…».  Mais, ce bonheur est de courte durée… car les zéros suivent inexorablement.

C’est beau Paris! 3ème. Dans ce troisième épisode, vous retrouvez Parfait, le nain qui rencontre sa petite copine Isabelle pendant ces journées de la Libération de Paris, en Août 44 (pour mémoire). Et leur Bel Oiseau!

Le portrait dévoilé. Petite leçon agréable de prise de vue pour le portrait. Sans prise de tête.

Petit coup de coeur: Nadia PIAULT "Mon book". Rolando aime. Un plaisir à partager!

vendredi 29 mars 2013

Dis voir Gilou ! T'as goûté ça !?...


Camembert grillé dans sa boite...

La recette authentique...

Le camembert est Normand, mais le camembert grillé est Cévenol !

Pour réaliser ce délice sur les cendres encore rougeoyantes du barbecue - après une soirée grillades par exemple - rien de plus facile à condition de bien suivre l'ordre des opérations...

Le plus dur sera de trouver un camembert dans un boite totalement en bois. La plupart des boites ont maintenant un fond en carton. Il faudra donc composer en fabricant un fond additionnel en bois, soit avec un autre couvercle, soit en découpant ce fond dans une cagette en bois. Quelle que soit la solution, l'important est que le camembert soit posé sur du bois et non sur du carton...


La recette peut être réalisée avec d'autres fromages, et notamment en Cévennes avec du pélardon, mais il faut reconnaître que les meilleurs résultats gustatifs seront obtenus avec du camembert, car la croûte contient la crème après cuisson (voir photo ci-dessous).


Pour ce qui est des herbes de Provence, l'idéal reste des plantes fraîchement cueillies, mais on obtient aussi de très bons résultats avec des produits "secs".

Ci-dessous la méthode d'emballage, après avoir retiré tous les papiers du fromage et - si possible - les étiquettes de la boite.


Et ensuite, place à la dégustation pendant que c'est chaud !... Sans oublier d'accompagner avec un bon verre de vin blanc ou rouge ! Bon appétit !

R*B


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Tu as raison, René... mais je te propose la recette de Saïd:
Un gentil petit pelardon badigeonné de jaune d'oeuf, pané et frit à la poëlle... qui se met à couler. C'est terrible! 

Cuisine en giboulées cévenoles*!

Eh bien, oui ! Rolando sacrifie à la mode de la cuisine, aussi disons :

-"Nous avons loué votre beauté, belles dames, avons continué, un tant soit peu à montrer nos Cévennes jolies et leur magnificence, chanté ensuite toute notre amitié à Rolando, Pierrot, Américo, Antoine, Jacques, Carmen, Julie et tous les amis qui nous supportent, mis en lumière mon Café des Cévennes, dit tout le bien que nous pensons de René et de ses illuminations adorables, suçoté de belles mignardises... ah, ces petites mignardises à vos oreilles chuchotées, il ne nous restoit que de la cuisine à vous bien entretenir...

... et enchanter votre palais pour vous inviter au royaume de René, celui de la bonne bouffe cévenole!"

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Un repas cévenol honorable ! 

Un soir que j'estois dans une famille cévenole, la mère pour bien me montrer que je faisois partie de la maisonnée m'a offert le repas qu'on ne mange qu'entre familiers : 

   -Soupe de châtaignes, Sanquet et Tripes de poule.

Quelle déconvenue à 13 ans, le mauvais âge pour goûter à toute nouveauté, parce qu'à part le couscous de ma mère, le roasti suisse-allemand, les plats simples de pauvres auxquels j'estois habitué, carottes, navets, courgettes, pois-chiches, le sanquet... pouah ! 
Et pourtant, le sanquet, c'estoit un plat de roi, sorte d'omelette avec des oeufs, du sang et du pain, un plat qu'on ne déguste qu'en famille.

Avec le sanquet, il y avoit aussi la soupe. De châtaignes. Horreur ! Il faut savoir que cette soupe ne se mange qu'entre-soi, entre amis et qu'on offre que si on vous le demande.
Excuses ! Ne me parlez pas de la soupe de châtaignes cévenole. Je ne la supportois même pas en peinture, et pas plus à ce jour !

La cuisine cévenole, je n'ai jamais su ce que c'estoit... Et je mourrai sans le savoir, étant peu ou pas invité. Peut-être mon caractère... mauvais, vous avoient dit ?

Et, c'est donc à l'initiative de René que cette petite rubrique gentillette et agréable vous est offerte !
Quoiqu'il en soit, étant un tant soit peu intelligent, nous affirmons que la Cévenne a toujours été pauvre. Donc, elle s'est farcie une cuisine de pauvre. Qu'on se le dise.

Reconnaissons toutefois qu'en notre petite ville du Vigan (environ 4000 âmes... enfin, pas toute charitables, croyez-moi) il y avait 7 à 8 boucheries, dont une chevaline et au moins deux charcuteries. Ce qui signifie un abattoir qui tournoit, disons qui tuoit pas mal, façon malheureuse de dire pour tous les abattus !

Le viganois mangeoit beaucoup de viande. Mais, ceci estoit certainement dû aux temps modernes lorsque le nylon et le bas des années 50 à 80 avoient enrichi les bonnetiers, épiphénomène viganois !

Pour moi, le seul apport culinaire cévenol estoit la confiture de châtaigne. 

Et les fromages de chèvres de tante Jeanne, la tata de Claudius. Un régal. Elle est n'est plus comme ses fromages de chèvres : morts et enterrés. 

Un désastre... ainsi que sa recette avec les herbes qu'elle utilisoit pour la marinade d'olives sauvages, perdue aussi. Mais moi, à l'époque, j'estois trop jeune pour avoir copié cette recette qu'elle me donnoit généreusement. Faudroit me mettre sous hypnose pour la retrouver cette maudite recette. Je suis d'accord pour ce faire.

Nous disions donc : confiture de châtaignes, fromages de chèvre, si possible de tante Jeanne, ses olives marinées dans des herbes, et les oignons. Ceci clos pour moi tout le champ de la cuisine cévenole ! Alors ce sanquet ! Horrible.

Les parents de Claudius m'aimoient beaucoup. Jean et Andrée estoient adorables. Et, lorsque l'on sait que le cévenol ne t'invitera jamais, sauf s'il te considère de la famille, tu peux comprendre qu'ils estoient heureux de recevoir ce petit prince que j'estois à l'époque et vouloir me faire aimer ce qu'ils prisoient par dessus tout.

Ce sanquet, je m'en serois bien passé. Quant aux tripes qu'ils dégustoient en connaisseurs, comprenez qu'il falloit bien leur dire que c'estoit excellent. Mais j'en estois à la limite de la nausée...

Et pourtant, soyons  honneste: la rivière estoit connue de tous temps comme pourvoyeuse de truites et de poissons blancs pour la soupe (arêtes enlevées) sans oublier les écrevisses cévenoles célèbres.
Et pourtant, soyons  honneste : le cévenol chasseur, et le gibier abonde. Petits oiseaux, grives, merles, garennes, lièvres, même écureuils, sangliers, cerfs, chevreuils...
Et pourtant, soyons  honneste : le cévenol, voyageur par nécessité et par goût a sans doute rapporté des recettes étrangères.
Et pourtant, soyons  honneste : un cochon cévenol élevé par famille a toujours été de tradition.
Et pourtant, restons honneste : notre région a toujours été un lieu de passage entre les versants atlantique et méditerranéen, entre Causse et Cévennes, entre plaine et montagne et donc brassage de pratiques culinaires.
Et pourtant, affirmons qu'il n'existe pas une cuisine protestante et catholique différenciées en ce pays cévenol.
Et pourtant, le mouton, le chevreau, et les champignons... 

A mon cher René BOUSCHET : si je n'avois pas dit du mal de cette cuisine cévenole, jamais, René tu n'aurois écrit sur notre blog. Tu as une jolie plume, faudra bien continuer ! 
A dater de ce Vendredi 29 mars, le blog comptera deux plumes : René et Gilou. Nous espérons que Françou nous rejoindra. 

Excuse, René, mais ce premier texte m'est sorti du coeur... Amitiés culinaires.

Pique épique, écho les grands !... du vendredi

Ma rivière au clair de lune*...


Le Vigan était, en ces années bonheur d’adolescence, petite cité balnéaire traversée par la plus belle rivière de France, balnéaire car les jeunes viganois (1) se baignaient sous le Vieux Pont. Ne me demandez pas pourquoi on a donné ce nom, à ce cours d'eau. La raison en aurait-elle été qu’elle traversait le petit village d’Arre ?
Sachez que, dans cette rivière magnifique, on venait de partout pêcher la truite sauvage...

En ces temps-là, Monsieur, nous nous retrouvions, comme des étourneaux ou de jeunes singes sur les rochers de la cascade dès après Pâques pour de joyeux bains, des pêches miraculeuses à la main et un bronzage sans aucune crème solaire, puis, en ces juillet et août pour des batailles rangées de reinettes que nous cueillions sur les pommiers alentours. 

Notre rivière n’était qu’un grand terrain de jeu et un grand égout collecteur de tout un bassin versant régional : tous les villages avoisinants, leurs jules et toutes les buses avec leurs jus se déversaient dans ce joli petit cours d'eau, que ce soit au clair de lune ou en plein soleil.

Que sont nos jules devenus ? Oh, simplement les pots de chambres des nuits cévenoles. Déversés !

Et, nous nous baignions avec bonheur dans ces eaux pures, claires dans lesquelles tous les jules de la région qui n’avaient pas fini leur vie dans quelqu’aven inconnu tombaient dans notre si jolie rivière tant poissonneuse, et, de temps à autre, le grand collecteur de Rochebelle s’amusait à nous pourrir la vie pendant quelques instants. Notre eau de baignade devenait soudain blanchâtre. M’enfin, on attendait quelques minutes que les eaux absorbent leur mangeaille et nous retournions nous baigner. Ou pêcher. Ou bronzer. Ou batailler en reinettes du Vigan. Ou du Canada.

Parfois, même, nous apportions un savon, une savonnette pour les plus sensibles et nous nous lavions dans notre petite rivière aux eaux si pures au clair du soleil. Cheveux, corps et fringues à la fois nous les faisions sécher sur les rochers de la cascade, la plus belle cascade du monde.

Et, que je sache, jamais personne ne s’est jamais plaint de furonculose ou autre saleté attrapée dans les eaux pas très saines de notre jolie petite rivière. Ni de quelque blennorragie chopée lors d’attroupements peu ragoutants, eux non-plus ! Mais, je te ne raconte pas, ami.

Je ne te raconte pas non plus le tas d’ordure près de la scierie, dans les années 50-60, derrière la gare et qui ne descendait dans la rivière qu’emporté par son propre poids, ou attendant sagement l’arrivée de quelque crue décennale pour aller polluer les rivages méditerranéens d'Agde.

Je ne te parlerai pas de l’abattoir municipal remplacé par l’actuelle école de musique. En ces lieux nauséabonds qui déversaient leurs tripailles et leur sang dans l'Arre à 100 mètres du Vieux Pont, lieu de pêche miraculeuse d’anguilles. Une belle puanteur !

Dans les années 70, en amont du Vigan, une station d’épuration a vu le jour sur la commune de Molières-Cavaillac. Pour traiter les eaux usées. Puis, elle a disparu lorsqu’on a construit la grosse station du Vigan, à 1,5 km de la ville, en aval.

Puis, on nous a affirmé que lorsque tous les petits villages du coin auraient été raccordés il n’y aurait plus d’ennuis : la rivière redevenait eau pure.
Ouah ! La rivière redevenait belle. L'eau n'était toujours pas buvable... mais la rivière était potable !

Seulement, malgré tous les artifices de puisage et de contrôle de la sainteté de l’eau, l’Arre est encore plus polluée qu’avant. Je vous jure. 
On ne parle pas de sanctification pour l’eau ? Comme la langue française est bizarre, ne trouvez-vous pas ?
On ne dit pas sainteté en parlant des salubrités de l’eau ? Vous êtes bien sûr ? On parle plutôt de propreté de l’eau ? Parce qu’on peut nettoyer l’eau… avec de l’eau ? Drôlatique !

Donc, des panneaux de la DDASS au lieu de baignade à Avèze, près du camping mettent en garde les possibles baigneurs en été : attention staphylocoques ! Mais, à l’endroit le plus usagé (terme peu usité sauf par votre serviteur) pour la baignade, à la chaussée de Rochebelle, point de panneau. Il faut dire aussi que les prélèvements de la DDASS se font au droit du trop plein de la source d’Isis. Ceci expliquant pourquoi  cette chaussée (cascade) serait moins fécalisée. On dit focalisé, ou fécalisé pour parler de rivière cacatisée ? Ne savons, mais !
(Les cascades servaient de départs aux béals d'irrigation et permettaient le passage à gué, d'où leur nom de chaussée. Voili-voilà).

Suis-je en colère de ne plus pouvoir me baigner dans la plus belle rivière de France ? Attristé un tant soit peu lorsque ma petite chienne Noémie se grattait jusqu’au sang après chacun de ses bains dans cette rivière polluée. Merde !

Ce n’est pas tout. Le long du chemin de la rivière qui va du pont d’Avèze à la Chaussée de Rochebelle (environ 500 mètres), il est des bouches d’égout. Qui rejoignent je ne sais quelle canalisation ou égout ou... et où ? Je pense que le tout s’arrête à la chaussée, car ce grand tout ne peut s’arrêter que là. C’est du « pour faire croire que…». Et je ne te parle pas des grands platanes qui bordent ce dit-chemin et renardent au maximum ces conduits "gouttants" dans la rivière...

Et ces regards avec des plaques d’égout boulonnées de chez boulonné !
Lorsqu’orage il y a, je vous suggère d’emprunter ce chemin de la rivière et vous vous rendrez-compte que les boulons ont sauté et que la merde se déverse joyeusement sur le chemin. Heureusement... peut-on dire en bon françois ?
Je pense que le terme est idoine! Et que la longueur du papier Q est d’environ trois unités (environ 30 cm). Mon Dieu, que j'ai le don d'observation ! Alléluia, Monsieur le Maire.

Serait-il possible que nos joyeux édiles et leurs maîtres d’œuvre aient oublié de séparer les eaux pluviales des eaux usées ? Mais, on ne pense à rien à la Communauté des Communes et dans les Mairies. Et donc, dites-moi à quoi on peut bien penser...

Alors, les orages de fin juillet et du 15 août, annonciateurs de cèpes abondants sont aussi source de pollution extraordinaire de notre si belle rivière.

Parfois, avec Rolando, nous allons observer notre station d’épuration qui a couté tant et tant et qui se permet à la belle saison, en août de préférence, de déverser sa grosse merde dans l’Arre, sans la traiter, au Rocher de la Mère qui n’en attendait pas tant de merde, la mère.

Et pour finir, j’attends toujours cette Commission extra-municipale annoncée par la Mairie de Le Vigan. Merde, de merde : quand pourra-t-on comprendre pourquoi cette si belle rivière est si polluée. Je m’y étais inscrit ! Merde de merde.
Inscrit à cette commission extra. Extra, vous avez dit ? M'enfin, Monsieur le Maire du Vigan, pas tant que cela !

Et, comme me dit Rolando, parlez-moi-z-en pas : 
Notre jolie rivière est encore plus polluée qu’avant. Merde ! 
Et quant on pense aux éco-dialogues viganais... Discutons ! Et ne faisons rien.

(1) Viganois écrit à l’ancienne, je vous prie de l’accepter. En ne fâchons pas le lecteur par la "déchetterie". 
Le nom de ma rivière, l'Arre, viendrait sans doute de l'or qu'on y aurait trouvé du temps des romains.

De mon café des « Cévennes », de cette si belle ville qui possède la plus belle rivière de France… Enfin, je suis si triste. Consolez-moi!

mardi 26 mars 2013

Expos à MAROSTICA et BJAZA


René Bouschet participe à l'exposition "EURÉKA" à Marostica (Italie)
Sur le thème : The invention that lead to the progress of civilisation. 


La naissance de l'ordinateur

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 et participe au concours
de BAJZA 
en Hongrie sur le thème "Ice hockey".  
à l'invitation de la fédération de hockey sur glace.