vendredi 28 février 2014

Sommaire 2014, Février. -2.


 A paraître, en mars: l'ordinateur en fleurs,les mots d'amours*, Slip négociant, et autres amusettes...
Paru le 4 mars: "Le paradoxe des Polices" La Police Municipale remplirait des missions de police nationale. Pardon?...
-Bizarre... vous avez dit bizarre? Tiens, comme c'est bizarre!

La Cour des Miracles à Nîmes! Et si la Justice ordinaire se mettait au commerce judiciaire équitable, sans Cour d'Appel extravagante? 

Mohand, au courrier de Ménie. Il ne s'agit que d'un Magav français contrôlant notre Mohand national. En Cisjordanie pour l'un, en Palestine pour l'autre. Voyez que l'on n'arrive toujours pas à s'entendre, ne serait-ce que sur les mots.

Adjudant, chef ? Bof, chef -3… L’adjudant-chef se révèlerait être un Major, le plus haut grade des sous-officiers, voilà pourquoi le dérapage est inexcusable. Alors pourquoi demander à Ménie des excuses qui, elle, présente les siennes à tous les gentils* adjudants-chefs de France? Signé: Ménie.
*Pas aux autres. 
Ndlr: depuis la bataille d'Austerlitz, après une folle charge menée par un adjudant, on les appelle familièrement: "mon lieutenant", le juteux faisant place à l'officier. Dans la cavalerie. Voili-voila. (Gilou dixit).

Juteux, chef ? Non chef ! -2. L’histoire de Leïla est tant véridique qu’on se demande si l’abrutissement est de règle dans certains milieux policiers. Et que ceux qui ne sont que mécontents nous le fassent savoir. Signé Ménie. 

Juteux, chef ? Oui, chef ! -1. Une histoire vraie au courrier de Ménie. Leïla, lycéenne raconte son grand père. Et la fifille à François-Mohammed raconte si bien l’accueil en nos maisons de Gendarmerie.

Arrête la cigarette ! -3. Pas besoin de volonté pour arrêter la cibiche. Suffit de ne pas être abruti! 

Ah ! l’Amuûûûr ! L’Amuûûûr ! Le cadeau de la Saint Valentin. Merci, mon chéri d’amour! 

La feuille de tabac. -2. De la première transgression, à l’Armée, des ratages… Dur, dur d’arrêter le tabac. 

J’aimerais tant écrire ! Tous voulaient devenir riches mais, feignants, ils ne faisaient rien pour y parvenir. Comme pour l’écriture. 

La prunelle de mes yeux ! Ah, si nos pères ne pensaient pas tant à accaparer le pouvoir d’une main et à vider les caisses de l’Etat pour leurs petits encas, de l’autre…et s'ils laissaient le pouvoir à nos femmes, nos mères, à nos filles? 

Et, chez-nous, en France, quand on voit la harde de sangliers à Hollande et ses dégâts, une femme président nous ferait moins de mal, hein, René?

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