vendredi 4 octobre 2013

Aucun objet au courrier à Ménie*.


Nous recevons la lettre qui suit, lettre dont nous respectons et le ton et la forme, fautes d’orthographe en prime.
Comme dit si bien le Gilou, lorsque le cœur est présent, il ne se peut commettre aucune faute. Même de goût, chère Elisabeth.

Gilou ayant décidé de vous répondre personnellement m’a demandé un brouillon qu’il signera bien volontiers. Voilà deux belles missives pleines d’amitié. La vôtre et la nôtre.

           (Aucun objet). à moi (sic). Le 30 septembre 2013.(*).
« J’espérais que tu avais tourné la page. J’aimerai apporté une correction à tes écris. Ce n’est pas le 4 avril que tu as été condamné, mais le 16 mai car tu n’étais pas présent et que le juge n’a pas apprécié.

Ce n’est pas mon avocat qui a demandé que tu sois incarcéré mais le juge qui en a décidé ainsi.
Il est vrai que j’aurai espéré que notre histoire ne se termine pas mais tu en as décidé.

Si je n’aime pas être frappé comme tu l’as souvent laissé entendre par contre toi tu aimes frappé les femmes. Pour que tu ressorte tout cela je ne pense pas que nous pourrons un jour nous parler en ami.
Je le regrette.

Je te tiendrai quand même au courant pour Christian, car s’il te manquait en prison depuis ta sortie tu n’as pas fait grand effort pour le voir.

Merci pour les années passées avec toi. Amicalement, Elisabeth. » 
(*toujours finir le mois en apothéose, très chère). 

Chère Madame Elisabeth, Gilou, en lisant votre petit pli disait :
-Elle, ce ne peut qu’être elle, Madame XX.
Quand il parle de vous, il dit bien volontiers Madame XXL, ce qui n’est pas gracieux, nous en conviendrons. Mais enfin, chère petite Madame, que Gilou ait été condamné le 4 avril ou le 16 mai, on s’en contre-fout. Il n’en reste pas moins vrai qu’il a été en prison. 

Je suis d’accord avec vous : votre avocat n’a pas demandé la prison pour ce vilain monsieur (qui a eu l’indélicatesse de vous gifler et en a été puni) mais, votre frère Pierre et votre sœur Marguerite ont fait des écrits accablants contre Gilou : le faux-témoignage de ces indélicats parlant de pseudo-violence contre eux a indisposé le juge. Tout ceci se trouve dans la procédure et vous en êtes la responsable. Ils ont menti à la justice grâce à votre combine. 

Quant à vous, chère Petite Madame XXL (quel surnom adorable!), les gendarmes du Vigan et le procureur d’Alès disent que vous êtes une manipulatrice. Vous avez quand même déclaré qu'il avait défoncé une porte. J’espère que vous avez une facture de réparation à montrer à nos blogueurs.
Vous avez aussi dit que le Gilou vous avait cassé le sternum. Là, encore, vous voudrez bien nous faire voir la radio et le certificat de vôtre décès.

Parce qu’un sternum, chère petite amie ne peut se casser. Bon, la petite gendarmette, le directeur d’enquête et le substitut ne sont pas au fait de ces choses médicales. 

Continuons vos petites menteries qui, mises bout à bout, ont mené le Gilou pour un an de prison ferme et mandat d’arrêt. Vous disiez encore que cela faisait plus de 5 ans que vous habitiez dans l’appartement du Gilou, ce vilain qui vous avait cassé le sternum mais que vous ne viviez pas avec lui. Donc, lorsque vous faisiez l’amour (lui parle plus volontiers de baise), ce n’était que pour l’hygiène.

Gilou me racontait à l’occasion que cela faisait sourire la gendarmette qui l’interrogeait et à qui il disait que s’il avait su qu’il avait une putain dans son lit, il en aurait profité pour assouvir quelques petits fantasmes assez croquignolets, du genre : eh, hop, par devant ! Et hop, par derrière ! 

Vous disiez avoir un nouvel homme dans votre vie, mais vous viviez avec Gilou. Right (trad : vrai) ? Mais Gilles ne le savait pas. Donc, vous aviez deux hommes pour vous toute seule. Coquine. Alors, par votre courriel vous nous dites que vous ne vouliez pas que vôtre histoire se termine avec le vilain Gilou. Mais, belle XXL, qui en a décidé ainsi ? 
Si je comprends bien, vous baisiez ailleurs, en catimini, Gilou vous pardonnait lui ayant fait croire que ce n’était qu’une passade… Mais, il restait les lettres. Vous deviez les brûler.

Dans votre portage de plainte contre le Gilou, vous dites « Nous avons fait le tour de la maison et je lui ai montré que j’avais bien brûlé ces lettres ». Seule une apprenti-gendarmette pouvait vous croire. Ce point me posait problème. J’ai demandé à Gilou.
-Oui ?...
-Brûlé, pas brûlé, en quoi cela nous importe-il ?
-Parce qu’XXL ment aux flics. Disons qu’elle aurait brûlé une lettre dans les chiottes, une autre dans la cuisine, une sur le palier, une dans le jardin, une autre encore dans notre chambre... le tour de la maison, quoi ! Je t’en foutrai. 
Quant à Americo et ma sœur, quand Elisabeth a « montré » l’endroit de la cheminée du premier, tous deux l’ont traitée de menteuse. 

Et pour finir, chère toute petite Madame XXL, vous oubliez votre médecin traitant qui vous a signé les 8 jours d’arrêt de travail. Vous avez attendu de 22 heures à 9 heures du matin pour courir, ventre à terre chez ce gentil praticien qui notait, en plus, une commotion cérébrale, des douleurs dans la main. Ce qui ne vous empêche pas de déclarer à la petite fliquette, à son directeur d’enquête et au substitut que, le lendemain, vous partiez en voiture, seule dans les Alpes, rejoindre votre nouvel homme pour y fêter, comme vous l’aviez prévu l'anniversaire de vos 65 ans.
Mais, vous êtes impayable, chère menteuse XXL. 

J’oubliais que vous aviez porté plainte contre Gilles pour vous avoir volé des meubles dans son propre appartement. Quel franc moment de rigolade à la Gendarmerie du Vigan : se voler soi-même. Voyez-vous, chère petite Madame XXL, à force de mentir, on fait le clown, le pitre. L’abruti, dirait le poète Américo.

De même, à l’Appel à Nîmes, ni vous, ni votre avocate ne vous êtes présentées. Pourquoi ? Par peur des questions des conclusions du Gilou. Ceci est illégal. Il aurait dû être libéré mais la présidente n’a pas voulu faire droit à votre détenu. 

Cette avocate est aussi menteuse que vous parce que, d’un côté, à l'Appel elle déclare, par un courrier qui parviendra à la cour après les débats que vous aviez expulsé le Gilou de son appartement. Le tribunal estimant le vilain Sans Domicile Fixe, le maintient 4 mois en taule. Mais, attention, dans le même temps…
... oui, dans le même temps qu’elle fait ce mensonge, l’avocate demande au Tribunal d’Instance d’Alès d’expulser le vilain. Cette gredinerie est punissable par la loi. D’accord, ma vieille ?

Oups ! Excusez cette familiarité !

Et la lettre que le Gilou avait écrite à l’ex-compagne de votre drôlet, elle se retrouve encore dans la procédure. Ce qui est un détournement de courrier. N’est-il pas ? On punit pour moins que cela. 

Chère XXL, sachez que toutes les victimes sont censées témoigner sur l’honneur. Votre honneur, vous y avez assis votre gros cul dessus, et si vous voulez faire un procès au Gilou, vous et vôtre avocate (Claire GROUSSARD, pub gratuite), il ne fera pas comme Socrate. Il prendra un avocat. Même remarque pour vôtre vilain frérot et vôtre vilaine sœurette.

Et quand à vous occuper de son frère Christian, faites ce qu’il vous plaira. On s’en balance. Quand à l’amitié et reprendre des relations avec vous, il évite les hystériques qui ont 6 ans d’âge affectif. 

Chère, très chère amie XXL. Faites bien attention aux gendarmes et au Procureur d’Alès. Ils n’aiment pas qu’on les prenne pour des billes*. Alors, s’il vous plaît, mettez toujours votre ceinture en voiture, on ne sait jamais : les flics étant souvent rancuniers. 
Et on ne sait pas toujours pourquoi.
*les billes, sorte de cons, si on préfère ! (Ndlr du Gilou vilain). 

Et pourquoi les viganais ne vous aiment plus ? Mais parce que vous avez privé de l’affection de sa petite chienne le Gilou car, pendant que l’une se faisait tirer, il caressais l’autre.
                                          Signé : Ménie,
                               contre-signé : Gilles.

PS de Gilou : Mon frère Christian m'a manqué en prison mais moins que Dame Liberté. 
                       Vendredi 4 octobre 2013. 1331 mots. Excusez, René.


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