samedi 18 mai 2013

Mon blog, ma bataille* !


Le fatal nombre 13 !... Vous avez dit pas de pot !?
Dieu, que j'aime écrire. Pendant quelques temps, je vais laisser reposer un peu ma bécane, non pour me ressourcer mais pour essayer de comprendre mes écrits et le pourquoi de certaines réactions qu’ils suscitent dans mon environnement. 

Vous noterez aussi que mes vérités ne sont pas toujours bonnes à dire. Comme Noé (Noah en allemand), j’espère n’avoir pas collecté un ramassis de bêtes à manger du foin pour les embarquer dans mon arche. Je compte donc sur votre intelligence, internautes chéris-chéris.

Lorsque je dis que je vais à la messe pour trouver l’amour de ma vie… qui n’a jamais fait pareil ? Et ma démarche est logique puisqu’il y a plus de monde qui traine dans tous les lieux de cultes que dans mon bistrot favori. Donc, plus de femmes à marier. Merci, Gilou pour le conseil...
... et comme j’aime à voir traîner toutes ces ouailles dans les églises!

Quand je traite de racaille ces siffleurs de Marseillaise dans les stades de foot, que j’estime que leurs parents sont responsables de leur mauvaise éducation et que je demande à monsieur le président de la République algérienne, lorsqu’il se fait soigner en France, de ne pas donner un coup de pied dans sa gamelle, qu’ai-je dit de mal ?

Et quand je fustige les juges qui font mal leur travail et placent les fous en prison, que je ne supporte pas les minauderies de l’avocat général Bilger déclarant que les « arabes » sont plus souvent en prison parce qu’ils font plus souvent de conneries… ouais, ouais. Mauvaise foi, le Bilger. Il sait que si tu es basané en France, on t’appelle Monsieur bad-arab… et zou, en prison. Comme le Gilou, né du mauvais côté de la Méditerranée. 

Aussi, Monsieur l’Avocat général, arrêtez d’insulter notre intelligence. Ce n’est pas parce qu’on a une gueule d’arabe qu’on est un rat, un raton, un animal sans intelligence.
Bilger, venez débattre avec moi. La prison, vous ne connaissez pas. N’y êtes jamais allé. Et comme dit ma mère,
-Soussoum quen. En langue berbère.
A la caillera (la racaille, in good french), on dit : ta bouche !

Comme dans toute famille, mes écrits, je les revendique tous comme mes enfants. On préfère souvent  les plus chétifs et les fragiles, considérant, bien à tort que les costauds ont besoin de moins de câlins. Mais, tous mes textes sont « des prématurés spécifiques » qui vont demander un peu de temps pour grandir. 
Remarquez qu'un fil conducteur semble tous les relier mais ces entités se suffisent à elles même tout en faisant partie d’une œuvre globale. C’est pourquoi, vous devrez les  picorer, ou les suçoter comme petites merises acidulées, ou  cerises juteuses. 
Mais, comme dit Rolando, elles ne vous gâteront pas les dents.
-Comment ? Qu’est-ce que tu dis ? 

Les neuf textes maudits qui posent problème…
     ... et qui me valent les foudres des bégueules, des culs-cousus. Et des saute-aux prunes !  
-Ouais, tu ne fais que parler de cul. C’en est une dégoutation. 
-Pardon Rolando ? On doit dire dégustation, non ?… Tu en es bien sûr ? Ah, bon mais, je préfère dégustation. Parce que mes textes se dégustent. Seulement, ceux qui les trouvent salasses sont ces vilaines personnes qui doivent le plus consulter les pages de porno dont sont pleins leurs ordinateurs.

Dans notre petit viganais, il nous reste de forts relents d’Evangélisme. Faut savoir, qu’ici, en mes petites Cévennes, il y avait encore un important « Réveil » évangélique fin des années 50. On se serait cru aux USA, tu sais, dans ces petits temples intégrants protestants (ou intégristes... qui vient d'intègre, quoi !). 
Rappelez-vous Billy Graham,  l’évangéliste rameutant des foules immenses sous ces chapiteaux de cirque, le copain de Bush père et fils mais sans l’esprit sain qui ont quand même fini par se fâcher avec Billy. Quel cirque !
Je sais que mes textes auraient déplu à Jehan Calvin et ravi mon ami Martin Luther qui parle si bien du petit perthuis de la femme (petite porte de devant).

1-Les Ortolans du 25 décembre 2012. Cet écrit, le plus coquin que j’aime profondément, pose un problème fondamental : la misère sexuelle et affective, compagne de la vieillesse. Seules, les personnes âgées, isolées, coupées de toutes possibilités de sexualité et d’affection d’un être proche et cher peuvent priser cette petite merveille que tu liras en accompagnement de ta prochaine et sûre vieillesse. Alors, souviens-toi, Barbara, il pleuvait si fort sur Brest ! 
2-Anne ma Floriane… qu’entends-je ? du 13 janvier 2013 est une nouvelle ahurissante qui met en scène l’âne de 6 mois Charlie et la Floriane qui veut appeler le rabbin (c’est son mot) pour castrer le bourricot. Et elle l’a fait, malgré les supplications de Rolando. 
Quant au bâton pour calmer les ardeurs des ânes et des hommes, c’est Fatima, ma mère qui parle. Et ceux qui ont eu le bonheur de la fréquenter vous diront que ce sont ses propres mots. 
Quoiqu’il en soit, lorsque j’entends une dame parler castration, j’ai le jean qui frémit d’effroi et je leur en veux, à ces vilaines.
3-Le cœur de Lola du 10 février 2013, mon texte chouchou, chant d’amour sur la beauté de la femme ne peut être texte incommodant. En effet, parler du cœur de Lola, mon Dieu ! Vous remarquerez que je parle aussi de ses yeux, son sourire, ses sourcils, sa bouche, les petits bisous d’amoureux, j’en parle aussi.

Aussi, excusez-moi si Lola a un si beau cœur. Et à qui le dire, si ce n’est à vous ? Et si vous voyiez son cul... Merveille des merveilles ! Et, quand votre amoureux vous parlera aussi bien de vos attraits… Ne soyez pas trop jaloux, je m’appelle Gilou ! 
4-La Saint Valentin à Julie du 14 février 2013 se saisit à bras le corps d’une actualité brûlante : l’échangisme. C'est vraiment le seul cadeau d’anniversaire pour ma fille Julie. Texte d’amitié entre Marylou et Julie.   
Ne me dites pas que vous n’avez jamais consolé une Marylou. Mais, qu’elle est pénible à toujours parler de sa chatte. Et cela donne des idées. Pas vrai ? Merde alors.
5-Attraction & propulsion du 15 février 2013 qui nous explique pourquoi, mesdames, vous aimez nos petits fessiers musclés. J’ai voulu vous offrir un écrit très aimable, respectable et dans sa tournure et dans les explications si lumineuses de ma fille Julie. Est-ce un texte maudit ? Que nenni. Ou alors…
6-La Saint Claude all’ dente du 15 février 2013 bel écrit que je ne renie pas non plus. Quelle joie de vous l’avoir offert. Il parle de bonheur, de sentiment de liberté et des incompréhensions dans les discours : elle pensait qu’il la draguait, lui ne disait qu’une petite senterie exprimant sa joie de vivre.
7-L’Arletta de Rolando du 17 mars 2013, jour de la Saint Patrick est cadeau pour moi. Rolando m’affirme que la chose s’est déroulée telle que narrée. A l’époque, ces produits de teinture de cheveux trop puissants, mal dosés ou appliqués trop longuement occasionnaient de graves brûlures aux lèvres (in english : lips). Et puis, la mode de raser son tablier de sapeur ou de l’épiler n’était pas encore de mise. Voili-voilà.
Doit-on me blâmer pour ce texte ? Lorsque vous croiserez ce coquin de Rolando, dites-le lui. Mais… à 85 ans bientôt, il vous recevra de belle manière, je le crains, en se moquant de vous.
8-Oh Agatha, ma chienne… du 8 mars 2013. La journée internationale des femmes. Texte pour lequel j’ai une tendresse infinie  parce qu’il me rappelle ma petite chienne Noémie que mon ex-vilaine, pour me faire chier (n’ayons pas peur des mots), m’a volée. Elle a eu 15 ans le 19 mars. Pas la vilaine, l'est plus vieille. J'avais dog-nappé, (kidnappé), ma Noémie mais les gendarmes m’ont demandé de la rendre à la vieille.
9-Qui a tué mon Dieu du 1er septembre 2012. Ce jour est la Saint Gilles. Donc… la masturbation en prison et hors des murs est naturelle, même lorsque, ambidextre on arrive à se laver les dents et caresser coquette.  Mais le faire de jour, devant son codétenu, c’est bizarre, non ?
Serait-ce une manœuvre d’élévation de l’âme vers son créateur ? Allez savoir !
Quoiqu’il en soit, parlez-moi pas de ce juge qui, par son arrêt en guise de graine d’ellébore a pu guérir ce fou en le plaçant en détention pour qu'il redevienne normal. Bravo, juge, pour ce tour de bonneteau. Un juge-psychiatre... On connaissait le policier-psychiatre en SSSR (URSS), mais là, c'est fort de café! 
Vous me direz : et toi, Gilou, comment sais-tu qu’un type est fou ? Ben, le jour où je me masturberai devant vous, en plein jour, quelqu'en soit le plaisir pris, je ne saurai pas si je suis fou. Mais vous n’aurez aucune hésitation à me déclarer siphonné, ravagé, fou. Mais, n'étant pas juge, vous ne m'embastillerez pas. Pour çà, faut être instruit !
10-La joueuse de Pipe du 19 mars deux-mille-ziknine. Petit texte savoureux, dont seul le titre a été créé. Il n’est même pas encore dans les limbes de mon esprit. Je dédierai cette nouvelle à Monica qui hantait la maison, blanche joueuse de pipe (Traduction en anglais : pipe=pipe).
Ah, j’oubliais, une pipe en anglais est une pipe ou une cornemuse. J’imagine la traduction en anglais de ce texte… à se tirer les cheveux.

Pendant quelques jours, je vais vous abandonner pour quelques randonnées pédestres, si le temps des giboulées voulait bien s'arrêter. 
Rassurez-vous : René vous fera quelques petites surprises et nous vous enverrons la suite de "C'est beau Paris" en début de semaine prochaine.


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